amateur moyen et grand format argentique, exclusivement noir et blanc...
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5 Commentaires
franville
sur 12 mai 2023 à 6h55
Après celui de Jérusalem, un autre près de chez moi…
On dit que, jadis, un berger s’y était retiré loin des hommes et plus proche de son troupeau.
Depuis, la banlieue a pris ses aises, elle se repends. Cette minuscule bicoque risque de poser un problème au prochain arrivant; tu peux trembler « petiote » . S’il n’a pas l’âme poétique, il ne saura pas voir la richesse de tes murs et ne te pardonnera rien.
M.RVR
sur 12 mai 2023 à 8h58
A mon avis trois dangers alternatifs guettent ce petit abri en briques:
– La démolition pure et simple
– la restauration aseptisée
– l’effondrement.
Dommage que la pointe du toit soit hors cadre.
Estienne
sur 12 mai 2023 à 10h01
Oui, un cadre un peu serré. Comme si déjà on supprimait l’espace vitale de ce cabanon …
Anonyme
sur 12 mai 2023 à 10h46
Mourir mais pas sans faire un pied de nez à la mort. Je me souviens de ce vieil acteur qui, à l’heure de sa mort, se maquille pour la dernière fois dans l’espoir de pourfendre, par pure illusion, l’inévitable. Il entre en scène comme il entre dans la mort; mais pas sans panache, le vieux théâtreux!
Une dernière représentation, la plus sublime, superbe; il subjugue son public !
Un cadre serré car, tout autour, son espace originel s’est comblé par des présences parasites d’aujourd’hui ( voitures, poteaux, etc…).
Aseptiser, peut être, mais toujours là, fière et debout!
Ne pas se faire oublier: « Même si c’est en mal, que l’on parle toujours de moi! »
Matoufilou
sur 12 mai 2023 à 16h00
Cabanon le retour. La vue du 24 février sous un autre angle. Même impression qu’alors : je comprends le photographe, nostalgique, qui veut faire empreinte, mais le sujet s’y prête-t-il ?
Après celui de Jérusalem, un autre près de chez moi…
On dit que, jadis, un berger s’y était retiré loin des hommes et plus proche de son troupeau.
Depuis, la banlieue a pris ses aises, elle se repends. Cette minuscule bicoque risque de poser un problème au prochain arrivant; tu peux trembler « petiote » . S’il n’a pas l’âme poétique, il ne saura pas voir la richesse de tes murs et ne te pardonnera rien.
A mon avis trois dangers alternatifs guettent ce petit abri en briques:
– La démolition pure et simple
– la restauration aseptisée
– l’effondrement.
Dommage que la pointe du toit soit hors cadre.
Oui, un cadre un peu serré. Comme si déjà on supprimait l’espace vitale de ce cabanon …
Mourir mais pas sans faire un pied de nez à la mort. Je me souviens de ce vieil acteur qui, à l’heure de sa mort, se maquille pour la dernière fois dans l’espoir de pourfendre, par pure illusion, l’inévitable. Il entre en scène comme il entre dans la mort; mais pas sans panache, le vieux théâtreux!
Une dernière représentation, la plus sublime, superbe; il subjugue son public !
Un cadre serré car, tout autour, son espace originel s’est comblé par des présences parasites d’aujourd’hui ( voitures, poteaux, etc…).
Aseptiser, peut être, mais toujours là, fière et debout!
Ne pas se faire oublier: « Même si c’est en mal, que l’on parle toujours de moi! »
Cabanon le retour. La vue du 24 février sous un autre angle. Même impression qu’alors : je comprends le photographe, nostalgique, qui veut faire empreinte, mais le sujet s’y prête-t-il ?