« Il s'agit de trouver quelque chose d'intéressant dans un endroit ordinaire... Cela n'a pas grand-chose à voir avec les choses que vous voyez, mais cela a tout à voir avec la façon dont vous les voyez. »
Elliott ERWITT
Plutôt touchant ce « quelque chose d’intéressant dans un endroit ordinaire… » comme écrit au-dessus.
J’ai lu que la plante sauvage en ville était comme une résistante.
Alors merci Jean d’avoir rendu hommage à la pensée en milieu hostile.
M.RVR
sur 17 mars 2022 à 9h12
Ce sont les failles dans le sol qui rendent la pensée possible.
Matoufilou
sur 17 mars 2022 à 10h43
Oh que c’est mignon !
D’une faille naît la pensée mais surtout la beauté.
Matoufilou
sur 20 mars 2022 à 10h51
Belle image de la résilience dont on nous rebat partout les oreilles… J’aimais beaucoup le concept d’origine développé par Cyrulnik, quand il s’appliquait à l’humain, mais à présent que le nucléaire devient « fer de lance » d’une société « résiliente », le concept commence à me dégoûter.
Sauf ici où la nature prouve sa grande faculté d’adaptation.
Vive la beauté simple qui naît d’une faille féconde !
Touchante par sa modestie… et merci aux villes qui renoncent aux désherbants et transforment les trottoirs en réjouissants jardins sauvages (je pense à Bordeaux où je flâne souvent).
Plutôt touchant ce « quelque chose d’intéressant dans un endroit ordinaire… » comme écrit au-dessus.
J’ai lu que la plante sauvage en ville était comme une résistante.
Alors merci Jean d’avoir rendu hommage à la pensée en milieu hostile.
Ce sont les failles dans le sol qui rendent la pensée possible.
Oh que c’est mignon !
D’une faille naît la pensée mais surtout la beauté.
Belle image de la résilience dont on nous rebat partout les oreilles… J’aimais beaucoup le concept d’origine développé par Cyrulnik, quand il s’appliquait à l’humain, mais à présent que le nucléaire devient « fer de lance » d’une société « résiliente », le concept commence à me dégoûter.
Sauf ici où la nature prouve sa grande faculté d’adaptation.
Vive la beauté simple qui naît d’une faille féconde !
Touchante par sa modestie… et merci aux villes qui renoncent aux désherbants et transforment les trottoirs en réjouissants jardins sauvages (je pense à Bordeaux où je flâne souvent).