@ GBertrand , ni japonnai ,ni méditerranéen , mais Auvergnat , délicatement posé au bord d’un petit lac au creux d’un vieux volcan , tout près du Puy en Velay.
Bien sur que j’ai pensé à ajouter un haïku , et je me suis dit “est ce vraiment indispensable ?”.
M.RVR
sur 30 novembre 2020 à 18h26
La photo me semble être, en soi, un haiku.
Estienne
sur 1 décembre 2020 à 11h17
Le lac du Bouchet peut-être ? Il faut savoir partir faire du “paysage” avec un télé, cela transforme la vision de la nature. Et on en arrive à ce presque rien : superbe !
@ Oui Étienne c’est bien le lac du Bouchet . J’étais parti pour faire de la macro , alors c’est le 90mm ,ils sont a quelques mètres du bord . j’ai monté le télé plus tard pour faire des prises de l’autre rive.
Parfait… et suffisant pour imaginer tout ce qu’il y a autour.
Matoufilou
sur 14 février 2022 à 20h58
“Je prétends à autre chose : ce n’est pas un concept, ce n’est pas un joujou avec lequel on puisse jouer ce “je ne sais quoi”. Il faut bien donner un nom à ce qui est impalpable, après tout c’est le métier des philosophes et de la philosophie !” (Jankélévitch)
Et le donner à voir, ce “presque rien”, c’est le travail des bons photographes.
Presque rien, mais suffisamment.
Un “presque rien” et pourtant ce point virgule presque japonais (ou méditerranéen ?), occupe parfaitement son espace.
Forcément, on pense au Haiku.
Et plus, ce serait trop.
@ GBertrand , ni japonnai ,ni méditerranéen , mais Auvergnat , délicatement posé au bord d’un petit lac au creux d’un vieux volcan , tout près du Puy en Velay.
Bien sur que j’ai pensé à ajouter un haïku , et je me suis dit “est ce vraiment indispensable ?”.
La photo me semble être, en soi, un haiku.
Le lac du Bouchet peut-être ? Il faut savoir partir faire du “paysage” avec un télé, cela transforme la vision de la nature. Et on en arrive à ce presque rien : superbe !
@ Oui Étienne c’est bien le lac du Bouchet . J’étais parti pour faire de la macro , alors c’est le 90mm ,ils sont a quelques mètres du bord . j’ai monté le télé plus tard pour faire des prises de l’autre rive.
Parfait… et suffisant pour imaginer tout ce qu’il y a autour.
“Je prétends à autre chose : ce n’est pas un concept, ce n’est pas un joujou avec lequel on puisse jouer ce “je ne sais quoi”. Il faut bien donner un nom à ce qui est impalpable, après tout c’est le métier des philosophes et de la philosophie !” (Jankélévitch)
Et le donner à voir, ce “presque rien”, c’est le travail des bons photographes.