En quelque sorte oui, la Loire transformée en fleuve infernal grâce à la citation du tableau de Böcklin : “l’île des morts”, installé face à un village ligérien appelé la Bohalle.
Brigitte David
sur 23 novembre 2020 à 21h30
Une pixellisation à outrance utilisée comme argument esthétique ou le ciel et l’eau se confondent . On pense aux dessins noirs de Hugo … et au vol incrémentiel des étourneaux…
Très belle photo – ouverte à l’interprétation…
Estienne
sur 24 novembre 2020 à 12h33
J’ai eu ma période “traitement violent” et il m’en reste quelques images mais je les regarde maintenant sans émotion. Mais j’aime le cadrage et l’idée du dessin dont parle Brigitte …
Je reconnais avec vous, Brigitte et Estienne, que le traitement est un peu brutal.
J’essaie de “traduire” en ce moment sur LVG des images d’une série en couleurs.
Et le résultats me surprennent souvent !
Cette image à l’origine était très douce en couleurs. Est-ce la raison pour laquelle elle a servi à illustrer la couverture d’un roman paru chez Actes Sud ? En noir et blanc, connaissant les réactions, elle n’aurait probablement pas été choisie.
Jean Fraipont
sur 24 novembre 2020 à 23h56
Avec une “encre” qui va bien avec le sujet
Brigitte David
sur 25 novembre 2020 à 13h21
GBertrand, le traitement très … ” expressif” de cette photo me parait tout à fait adéquat… Non seulement je ne suis pas contre cette liberté de ton , mais je la revendique!
Je ne connaissais pas. Les informations recueillies sur Internet me laissent penser que le choix de cette photo était judicieux.
Matoufilou
sur 14 février 2022 à 21h19
Traitement violent en N&B mais un résultat effectivement proche du graphite et qui va bien avec le sujet. On imagine le sang encore tiède de la trépassée abreuvant un Nosfératu assoiffé (il est apparemment impatient de la voir accoster).
Voilà une image qui a fait beaucoup parler il y a un bon moment et l’effet est persistant, je vois.
Merci pour ton interprétation qui enrichit un dialogue commencé il y a bientôt 2 ans.
A propos de noir et donc du “graphite” que tu décèles et que je ne peux nier, tu dois savoir qu’un des plus grands plaisirs de mon expression fut l’époque où j’ai pu fréquenter l’atelier de gravure des Beaux Arts de la ville où j’habite. D’où les noirs profonds que j’aime.
Styx ligérien ?
En quelque sorte oui, la Loire transformée en fleuve infernal grâce à la citation du tableau de Böcklin : “l’île des morts”, installé face à un village ligérien appelé la Bohalle.
Une pixellisation à outrance utilisée comme argument esthétique ou le ciel et l’eau se confondent . On pense aux dessins noirs de Hugo … et au vol incrémentiel des étourneaux…
Très belle photo – ouverte à l’interprétation…
J’ai eu ma période “traitement violent” et il m’en reste quelques images mais je les regarde maintenant sans émotion. Mais j’aime le cadrage et l’idée du dessin dont parle Brigitte …
Je reconnais avec vous, Brigitte et Estienne, que le traitement est un peu brutal.
J’essaie de “traduire” en ce moment sur LVG des images d’une série en couleurs.
Et le résultats me surprennent souvent !
Cette image à l’origine était très douce en couleurs. Est-ce la raison pour laquelle elle a servi à illustrer la couverture d’un roman paru chez Actes Sud ? En noir et blanc, connaissant les réactions, elle n’aurait probablement pas été choisie.
Avec une “encre” qui va bien avec le sujet
GBertrand, le traitement très … ” expressif” de cette photo me parait tout à fait adéquat… Non seulement je ne suis pas contre cette liberté de ton , mais je la revendique!
Merci pour tous vos retours !
J’oubliais. Quel était le titre du livre chez Actes Sud ?
“Roman de l’au-delà” de Matthias Politycki.
Je ne connaissais pas. Les informations recueillies sur Internet me laissent penser que le choix de cette photo était judicieux.
Traitement violent en N&B mais un résultat effectivement proche du graphite et qui va bien avec le sujet. On imagine le sang encore tiède de la trépassée abreuvant un Nosfératu assoiffé (il est apparemment impatient de la voir accoster).
Voilà une image qui a fait beaucoup parler il y a un bon moment et l’effet est persistant, je vois.
Merci pour ton interprétation qui enrichit un dialogue commencé il y a bientôt 2 ans.
A propos de noir et donc du “graphite” que tu décèles et que je ne peux nier, tu dois savoir qu’un des plus grands plaisirs de mon expression fut l’époque où j’ai pu fréquenter l’atelier de gravure des Beaux Arts de la ville où j’habite. D’où les noirs profonds que j’aime.