Une perspective qui ne montre que mal le site et une grisaille qui ne facilite pas la mise en valeur …
M.RVR
sur 21 octobre 2020 à 8h36
No tears ?
brigitte david
sur 21 octobre 2020 à 8h52
Oui Estienne, il y a mieux comme cadrage. Bien en face du site , on ne voyait plus suffisamment la ville. Le confinement a été pour moi une période d’exploration de cette colline hantée où je ne mettais jamais les pieds et son pouvoir métaphorique de ville arrêtée dans la ville arrêtée était assez puissant. Le site archéologique était fermé pendant toute cette période. Photographiquement ça n’a rien donné. Mais l’idée fait son chemin. Quant à la grisaille… elle est aussi un sujet d’exploration photographique. Pour moi en tous cas!Tes remarques sont incitatives! 🙂
Une perspective qui ne montre que mal le site et une grisaille qui ne facilite pas la mise en valeur …
No tears ?
Oui Estienne, il y a mieux comme cadrage. Bien en face du site , on ne voyait plus suffisamment la ville. Le confinement a été pour moi une période d’exploration de cette colline hantée où je ne mettais jamais les pieds et son pouvoir métaphorique de ville arrêtée dans la ville arrêtée était assez puissant. Le site archéologique était fermé pendant toute cette période. Photographiquement ça n’a rien donné. Mais l’idée fait son chemin. Quant à la grisaille… elle est aussi un sujet d’exploration photographique. Pour moi en tous cas!Tes remarques sont incitatives! 🙂