Assez impénétrable. En hiver, n’en parlons pas. Au printemps, comme ici, c’est déjà compliqué avec les enchevêtrements de branches et de troncs, les trous profonds gorgés d’eau, et les marécages tourbeux. En été, les nuées de moustiques ne vous laissent pas une seconde de répit. Ah oui, j’oubliais les sangsues (et les ours mais c’est plus rare).




Jean Fraipont

« Il s'agit de trouver quelque chose d'intéressant dans un endroit ordinaire... Cela n'a pas grand-chose à voir avec les choses que vous voyez, mais cela a tout à voir avec la façon dont vous les voyez. » Elliott ERWITT
5 Commentaires
  1. Pas très engageant. Le commentaire confirme quasi littéralement l’impression donnée par la photo.

  2. Pour moi, un superbe terrain de jeu ! Les arbres noyés plus ou moins morts, les flaques d’eaux sombres et mystérieuses, la noirceur de la forêt … il n’y a guère que les moustiques qui ne soient pas très engageants … bonne balade ! 🙂

  3. Et là-dessus un voile très gris qui renforce l’opacité du lieu. Pas engageant en effet. Mais j’aimerais avoir une telle vue à ma fenêtre.
    “L’isba s’élève au bord de l’eau. La nuit, la clarté de la lune allaite le lac. A l’aube, la forêt bruisse dans le vent. Et les journées s’écoulent, strictement identiques, devant l’éternité.” (Sylvain Tesson, “Une très légère oscillation”, Equateurs, 2017).

  4. Je sais ce qui me manque ! Un peu de douceur par l’intermédiaire de gris moyens. J’ai l’impression que tu avais un contre-jour sur l’humidité de cette forêt ce qui donne un éclat à la moindre brindille …

  5. Merci pour vos retours!
    @Estienne : exact !

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *