Jean Fraipont sur 31 mars 2019 à 20h05 @Monsieur HR : excellente observation de cette maison des années 30 au bord ouest de Washington Square à NY.
Jean Fraipont sur 1 avril 2019 Ă 11h17 EnquĂªte très minutieuse! đŸ˜‰ D’un reflet sur une fenĂªtre en face.
Henri sur 1 avril 2019 Ă 17h54 Vraiment une très belle lumière sur ces narcisses .Pour moi pas austère , j’ai une vision plus poĂ©tique qui se rapproche mĂªme du romantisme , avec cette lumière qui se rapproche de certaines lumières de Caspar David Friedrich.
Estienne sur 1 avril 2019 Ă 21h10 Oui, ici, la lumière fait tout : très bien saisi et comme d’habitude un cadrage au millimètre !
Matoufilou sur 1 avril 2019 Ă 21h26 Ce n’Ă©tait pas nĂ©gatif, Henri. Je ne vais pas me moquer de l’exubĂ©rance huguenote, je l’ai beaucoup frĂ©quentĂ©e et y suis très attachĂ©, mais Ă dĂ©faut d’austĂ©ritĂ© il y a tout de mĂªme une forme de contention jusque dans les joies les plus radieuses. Et c’est peut-Ăªtre pour cela que j’aime tant Bach ou Bobin, qui intĂ©riorisent la joie : “Pendant plusieurs dizaines d’annĂ©es, je n’ai eu qu’une meurtrière pour voir la vie : un rectangle ouvert sur le ciel pur. Ma vue s’est faite Ă cette exiguĂ¯tĂ© : j’appris Ă trouver dans le vol aigu d’une hirondelle ou dans l’interminable dĂ©rive d’un nuage les nourritures nĂ©cessaires Ă ma joie.” (Prisonnier au berceau, Mercure de France, 2005) C’est de cette austĂ©ritĂ© radieuse dont il est question ici.
JLB sur 2 avril 2019 Ă 10h11 Lumière parcimonieuse peut-Ăªtre, mais pleine de promesses. Très belle image d’attente, d’espoir et de contemplation.
Jean Fraipont sur 2 avril 2019 Ă 10h41 Une certaine austĂ©ritĂ©, joie retenue, romantisme (allemand), contemplation,… Merci d’avoir vu tout cela !!
Printemps, mais austère ?
Une influence quaker ?
@Monsieur HR : excellente observation de cette maison des années 30 au bord ouest de Washington Square à NY.
Mais d’oĂ¹ venait cette lumière ?
EnquĂªte très minutieuse! đŸ˜‰ D’un reflet sur une fenĂªtre en face.
Sujet austère mais beau rendu.
Vraiment une très belle lumière sur ces narcisses .Pour moi pas austère , j’ai une vision plus poĂ©tique qui se rapproche mĂªme du romantisme , avec cette lumière qui se rapproche de certaines lumières de Caspar David Friedrich.
Oui, ici, la lumière fait tout : très bien saisi et comme d’habitude un cadrage au millimètre !
Ce n’Ă©tait pas nĂ©gatif, Henri.
Je ne vais pas me moquer de l’exubĂ©rance huguenote, je l’ai beaucoup frĂ©quentĂ©e et y suis très attachĂ©, mais Ă dĂ©faut d’austĂ©ritĂ© il y a tout de mĂªme une forme de contention jusque dans les joies les plus radieuses.
Et c’est peut-Ăªtre pour cela que j’aime tant Bach ou Bobin, qui intĂ©riorisent la joie : “Pendant plusieurs dizaines d’annĂ©es, je n’ai eu qu’une meurtrière pour voir la vie : un rectangle ouvert sur le ciel pur. Ma vue s’est faite Ă cette exiguĂ¯tĂ© : j’appris Ă trouver dans le vol aigu d’une hirondelle ou dans l’interminable dĂ©rive d’un nuage les nourritures nĂ©cessaires Ă ma joie.” (Prisonnier au berceau, Mercure de France, 2005)
C’est de cette austĂ©ritĂ© radieuse dont il est question ici.
Lumière parcimonieuse peut-Ăªtre, mais pleine de promesses. Très belle image d’attente, d’espoir et de contemplation.
Une certaine austĂ©ritĂ©, joie retenue, romantisme (allemand), contemplation,…
Merci d’avoir vu tout cela !!