Estienne sur 21 mars 2019 Ã 23h00 Pour du contraste, c’est du contraste ! Mais je ne suis pas convaincu …
Matoufilou sur 22 mars 2019 à 16h33 Ah j’aime bien ! C’est typiquement ce genre de décalage que je recherche dans mes tentatives de polyptyque. C’est dans l’interaction que se situe l’interrogation, le doute, l’expérimentation, et éventuellement la réussite. Ici, les vagues et cette figuration se nourrissent l’une l’autre et prennent une dimension supplémentaire. Pour reprendre le langage de Jakobson, deux fonctions dénotatives en se télescopant donnent une fonction métalinguistique. Ou dit plus simplement : deux réalités simples en créent une troisième, plus complexe. Un langage au-dessus du langage.
Pour du contraste, c’est du contraste ! Mais je ne suis pas convaincu …
Vagues et vague à l’âme.
Ah j’aime bien ! C’est typiquement ce genre de décalage que je recherche dans mes tentatives de polyptyque. C’est dans l’interaction que se situe l’interrogation, le doute, l’expérimentation, et éventuellement la réussite.
Ici, les vagues et cette figuration se nourrissent l’une l’autre et prennent une dimension supplémentaire.
Pour reprendre le langage de Jakobson, deux fonctions dénotatives en se télescopant donnent une fonction métalinguistique. Ou dit plus simplement : deux réalités simples en créent une troisième, plus complexe. Un langage au-dessus du langage.
“Vagues et vague à l’âme” le traduit très bien.
Et là du coup c’est la fonction poétique qui est atteinte.
Très beau rapprochement poétique !