J'ai perdu le goût de la photo avec la fin de l'argentique. Puis, par le biais de Freddy Rapin (merci Freddy !), j'ai découvert LVEG, son collectif de passionnés, avec leurs tâtonnements, leurs ratages, leurs prises de bec parfois, avec aussi leurs réussites et souvent leurs merveilles.
Je suis d'abord resté paralysé, commenter me suffisait, mais ça y est, c'est reparti, et j'espère m'amuser longtemps comme cet été, à goûter de nouveau au plaisir de ce qui se raconte à travers une image. Et le numérique finalement c'est très plaisant, on peut refaire sa photo à l'infini.
L'histoire souvent s'impose après la prise de vue, dans le travail de tri qui s'opère au milieu d'une masse de clichés. C'est là souvent qu'une histoire s'amorce, qu'une photo prend son sens et qu'elle acquiert à mes yeux son importance.
Mon aventure ici débute comme presque rien, modestement, par des scènes de vacances en famille. Il n'y a pas grand-chose à photographier. C'est comme une page blanche. C'est l'occasion de me tester en douceur, sans ambition et sans enjeu, pour voir où ça mène…
La seconde de la première rangée du Dom Michel prise au Conquet
Stef
Monsieur HR
sur 27 février 2019 à 9h38
Une préférence pour la version sépia.
Matoufilou
sur 27 février 2019 à 9h52
Bravo Stéphane. Exactement. Et les galets viennent de Ouessant, près du Creac’h.
@ JLB : Très franchement je ne sais pas ce que je cherche. J’explore. It’s “an experiment”, comme disent les artistes. Une performance !
Matoufilou
sur 27 février 2019 à 9h54
J’ai repris goût à la photo (en grande partie grâce à LVEG, soit dit en passant), et je me sens beaucoup moins contraint qu’à l’époque de mon labo argentique. C’est moins complexe d’oser des choses (et surtout moins coûteux en temps et en énergie, sans même parler du coût du papier).
Bref, je me sens soudain redevenu tout jeune. C’est enfin l’âge des possibles.
Sachant que vous ne me passerez rien. C’est ma limite. Une belle et bonne limite.
Sinon, j’ai ressenti le même enthousiasme en passant au numérique, mais on se laisse facilement griser par les possibilité techniques nouvelles !
Estienne
sur 28 février 2019 à 22h18
Moi aussi, j’ai eu mon étape “filtres” à tout va … je n’en utilise plus beaucoup ou alors sur des combinaisons qui me vont bien mais elles sont rares …
Matoufilou
sur 1 mars 2019 à 14h20
J’ai bien entendu le peu d’enthousiasme, mais merci à tous pour vos commentaires.
brigitte david
sur 5 mars 2019 à 11h04
Pour te consoler Matoufilou, je suis sensible à cette façon d’épuiser le sujet… Ce Work in progress me parait une approche ouverte – et juste – à l’exercice de la photographie.
Matoufilou
sur 5 mars 2019 à 11h07
Tu me flattes, Brigitte, et tu me touches. J’apprécie le Work in progress chez les écrivains, mais c’est une démarche qui vaut pour tout art. Merci.
… et je ne vois toujours que des effets de filtres PS!.. désolé, Matou, mais l’intention m’échappe totalement!
La seconde de la première rangée du Dom Michel prise au Conquet
Stef
Une préférence pour la version sépia.
Bravo Stéphane. Exactement. Et les galets viennent de Ouessant, près du Creac’h.
@ JLB : Très franchement je ne sais pas ce que je cherche. J’explore. It’s “an experiment”, comme disent les artistes. Une performance !
J’ai repris goût à la photo (en grande partie grâce à LVEG, soit dit en passant), et je me sens beaucoup moins contraint qu’à l’époque de mon labo argentique. C’est moins complexe d’oser des choses (et surtout moins coûteux en temps et en énergie, sans même parler du coût du papier).
Bref, je me sens soudain redevenu tout jeune. C’est enfin l’âge des possibles.
Sachant que vous ne me passerez rien. C’est ma limite. Une belle et bonne limite.
Ceci dit je n’ai absolument rien contre l’expérimentation, au contraire, je sais qu’elle peut être féconde!
je suis tout aussi perplexe que le reste de la compagnie…
Sinon, j’ai ressenti le même enthousiasme en passant au numérique, mais on se laisse facilement griser par les possibilité techniques nouvelles !
Moi aussi, j’ai eu mon étape “filtres” à tout va … je n’en utilise plus beaucoup ou alors sur des combinaisons qui me vont bien mais elles sont rares …
J’ai bien entendu le peu d’enthousiasme, mais merci à tous pour vos commentaires.
Pour te consoler Matoufilou, je suis sensible à cette façon d’épuiser le sujet… Ce Work in progress me parait une approche ouverte – et juste – à l’exercice de la photographie.
Tu me flattes, Brigitte, et tu me touches. J’apprécie le Work in progress chez les écrivains, mais c’est une démarche qui vaut pour tout art. Merci.