12 Commentaires
  1. Vraiment très très beau…
    Très pictural ,d’ailleurs à l’ouverture j’ai de suite pensé à certains tableaux de Caspar David Friedrich comme “Récif au bord de la mer” ou “La mer de glace” …
    Un morceau de Shubert en fond sonore et c’est un pur moment de plaisir….

    Bravo.

    https://www.youtube.com/watch?v=VEWNzCcemmA

  2. dEntesque !
    J’apprécie la choix d’une vitesse lente sans aller jusqu’au maniérisme à la mode.

  3. Très offensifs ces rochers! Il faut ça pour exprimer tous les contes , toutes les menaces , le mouvement conquérant de la mer
    Henri: … Le Voyage d’Hiver… Ou … les mouvements lents de l’Opus 100…

  4. De grandes orgues ! Pour moi, plus Wagner que Schubert.
    Une superbe image de toute façon.

  5. HENRI: La référence à Friedrich me plaît bien. Merci pour la suggestion d’accompagnement sonore; j’apprécie, même si je ne suis pas trop “musique classique”. Et pendant que nous convoquons les grands noms à l’appui de cette image je citerais Victor Hugo:
    “-Une nuit qu’on entendait la mer sans la voir-
    Quels sont ces bruits sourds?
    Ecoutez vers l’onde
    Cette voix profonde
    Qui pleure toujours
    Et qui toujours gronde…”
    … ou encore Nicolas Bouvier dans l’île d’Aran:
    “Resté là un moment à écouter les coups de boutoir de la mer, à entendre le vent me braire au nez en tirant comme un voleur sur ses couvertures de brumes…”

    MR HR: c’est vrai que c’est assez périlleux de vouloir photographier l’océan en pose longue sans se confondre avec la masse des épigones de Michael Kenna. Si j’échappe au maniérisme en vogue c’est tant mieux! Pourvu que ça dure!

    BRIGITTE: Je ne veux pas répondre à la place d’Henri. Mais tu sais comme moi la multiplicité des registres sonores de l’océan: “Après l’été, c’est souvent dès les marées de septembre que cette rumeur se manifeste, puis enfle ou s’estompe durant tout l’hiver, suivant la force et la direction du vent, la hauteur de marée, le rythme des vagues, la puissance de la houle. Par vent de terre, elle se fait parfois discrète. Une rumeur qui peut passer du murmure au tumulte, du grondement sourd et continu aux échos perceptibles et modulés du ressac…” Je parle d’une rumeur perçue à distance…

  6. Comme Henri, j’ai pensé à “la mer de glace” de Friedrich. Un superbe dynamisme dans cette composition minérale !!!

  7. Que de sabres et de poignards pour un naufrage ! Côtes inhospitalières et pourtant que c’est beau ! C’est encore et toujours ce contraste entre la netteté coupante et le coton très doux que j’aime ici encore … : bravo ! Et comme musique, je me contenterai de celle du ressac et du vent …

  8. GBERTAND, JEAN, ESTIENNE, merci à vous aussi pour vos regards. A suivre…

  9. Me fait songer à cette île primitive, Skull Island, je crois, où l’on trouve des dinosaures et des singes géants. Mais l’Inis Mor de Bouvier me va aussi : son bouquin sur Aran a été pour moi une lecture importante.

  10. “Que de sabres et de poignards pour un naufrage”… mais …diraient les Frères Jacques… “Encore heureux qu’il ait fait beau… et qu’la Marie-Josèphhe soit un beau bateau!”
    JLB ; ton texte entre guillemets est de…

  11. Aran, effectivement.

  12. BRIGITTE: …euh! de moi! une note qui accompagnera peut-être cette série. Copiée/collée, car déjà utilisée dans un autre contexte, désolé, j’ai oublié de supprimer les guillemets!

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