Né en 1949, habite Tours (37), retraité et syndicaliste
Je dirais bien que j'aime mettre mon "grain de sel" mais cette expression est déjà utilisée (à bon escient) par un autre photographe sur le blog .
Je pratique la photo en pointillé, de manière un peu erratique, sans véritable style personnel nettement défini, avec un petit goût pour le flou, souvent mal maîtrisé d'ailleurs
J'éprouve un vrai plaisir à dialoguer sur le blog et je pense que ma pratique, notamment celle du post traitement informatique de la photo s'est améliorée grâce à ces échanges
Il faut bien que quelqu’un essaie de remplacer Philippe Schalk pour les scènes de rue. Un cadrage bien serré mais un peu trop de profondeur de champ ce qui amène beaucoup de détails envahissants à l’arrière-plan …
Monsieur HR
sur 18 novembre 2018 à 15h49
Cette photo a été prise depuis la fenêtre du train Mont Blanc Express , peut être à Vallorcine. A cette distance, impossible, avec mon petit Fuji, de jouer sur le flou d’arrière plan.
Je regrette surtout de ne pas avoir pu saisir le visage du jeune homme. Tous deux semblaient s’amuser beaucoup.
Pour ce qui est de Philippe Schalk, son silence brutal est étonnant.
Matoufilou
sur 19 novembre 2018 à 10h09
Oui, Philippe nous manque, son univers si singulier…
D’accord avec Estienne sur l’encombrement excessif de l’arrière-plan, mais j’aime bien la scène entre les deux personnages. Là les yeux fermés ne sont pas gênants : il y a une belle expressivité de l’ensemble.
Un instant vraiment…décisif !
Il faut bien que quelqu’un essaie de remplacer Philippe Schalk pour les scènes de rue. Un cadrage bien serré mais un peu trop de profondeur de champ ce qui amène beaucoup de détails envahissants à l’arrière-plan …
Cette photo a été prise depuis la fenêtre du train Mont Blanc Express , peut être à Vallorcine. A cette distance, impossible, avec mon petit Fuji, de jouer sur le flou d’arrière plan.
Je regrette surtout de ne pas avoir pu saisir le visage du jeune homme. Tous deux semblaient s’amuser beaucoup.
Pour ce qui est de Philippe Schalk, son silence brutal est étonnant.
Oui, Philippe nous manque, son univers si singulier…
D’accord avec Estienne sur l’encombrement excessif de l’arrière-plan, mais j’aime bien la scène entre les deux personnages. Là les yeux fermés ne sont pas gênants : il y a une belle expressivité de l’ensemble.