Une image ambiguë (positivement). On y voit un espace végétal et lumineux vide, qui semble prêt à nous accueillir et à nous protéger, et dans le même temps le traitement musclé et destructeur le met à distance, inaccessible, le présente simplement en tant qu’image… Lecture toute personnelle, sûrement très éloignée des intentions de l’auteur!
Pas “vraiment d’intentions de l’auteur”, JLB. Merci pour votre lecture.
Parmi la cinquantaine de photos prises ce jour-là, seule celle-ci m’a paru évidente.
Un époussetage, un recadrage pour jouer la symétrie et quelques ajustements lumière, l’image me convenait.
Mais, et c’est tant mieux, même pour moi, gardait son mystère.
Des hasards bienvenus et qu’on est content d’accompagner…
Matoufilou
sur 3 novembre 2018 à 14h59
Comme dans tes séries précédentes, la frontière floue entre le pictural et le photographique constitue, fabrique une image originale, qui raconte plein de choses.
Série: “Tableaux des éléments”
je m’attendais à la brasserie…
Superbe!
Après la masse minérale, une explosion végétale apocalyptique !
la masse minérale statique
Traitement à la hache ! Mais qui a un intérêt certain même si je ne suis pas preneur …
A la hache oui, et à 300km à l’heure je vous assure.
Les bonheurs du TGV.
J’aime également faire des photos par la fenêtre du train.
Une image ambiguë (positivement). On y voit un espace végétal et lumineux vide, qui semble prêt à nous accueillir et à nous protéger, et dans le même temps le traitement musclé et destructeur le met à distance, inaccessible, le présente simplement en tant qu’image… Lecture toute personnelle, sûrement très éloignée des intentions de l’auteur!
Pas “vraiment d’intentions de l’auteur”, JLB. Merci pour votre lecture.
Parmi la cinquantaine de photos prises ce jour-là, seule celle-ci m’a paru évidente.
Un époussetage, un recadrage pour jouer la symétrie et quelques ajustements lumière, l’image me convenait.
Mais, et c’est tant mieux, même pour moi, gardait son mystère.
Des hasards bienvenus et qu’on est content d’accompagner…
Comme dans tes séries précédentes, la frontière floue entre le pictural et le photographique constitue, fabrique une image originale, qui raconte plein de choses.