Évidemment, la comparaison s’impose avec la précédente. Celle-là était descriptive et son intérêt résidait dans la correspondance avec une armée. Celle-ci parle de l’être, de l’étonnement devant l’impression de présence que procurent certains végétaux ou minéraux. Ici, il y a plus de fond et moins d’anecdote.
Mais la photo ne me semble pas très nette…
Elle n’est pas très nette en effet!… mais je l’ai tirée tout de même; en donnant à la végétation un aspect un peu « cotonneux » ce défaut ne me gênait pas vraiment…
Estienne
sur 26 février 2018 à 14h46
L’armée d’Andreroques est plus graphique parce que plus contrastée. Ici, on joue la douceur de la nature sous un ciel bien habillé de moutons qui rêvent de brouter ces quatre petits bosquets de vert sombre. C’est (peut-être) flou mais la douceur s’en fout ! 🙂
Beaucoup de mots en accord avec mes intentions dans vos commentaires : paix, sérénité, étonnement, douceur… (Alors, pour une fois, tant pis pour le flou !). Merci à vous.
Pas facile de mettre en valeur un paysage en N&B (pour moi en tout cas) et ici je trouve ça plutôt réussi, bravo.
La riposte à la photo précédente ?
Monsieur HR : je dirai plutôt la suite : c’est la paix après la guerre, mais il y a moins de monde
Celle ci parle différemment de la précédente, horizon, lumière, fond, sérénité diffèrent.
@ jb: ce n’est non plus le même contexte; ici dans la Drôme, au-dessus de Le Poët-Laval.
Évidemment, la comparaison s’impose avec la précédente. Celle-là était descriptive et son intérêt résidait dans la correspondance avec une armée. Celle-ci parle de l’être, de l’étonnement devant l’impression de présence que procurent certains végétaux ou minéraux. Ici, il y a plus de fond et moins d’anecdote.
Mais la photo ne me semble pas très nette…
Elle n’est pas très nette en effet!… mais je l’ai tirée tout de même; en donnant à la végétation un aspect un peu « cotonneux » ce défaut ne me gênait pas vraiment…
L’armée d’Andreroques est plus graphique parce que plus contrastée. Ici, on joue la douceur de la nature sous un ciel bien habillé de moutons qui rêvent de brouter ces quatre petits bosquets de vert sombre. C’est (peut-être) flou mais la douceur s’en fout ! 🙂
Beaucoup de mots en accord avec mes intentions dans vos commentaires : paix, sérénité, étonnement, douceur… (Alors, pour une fois, tant pis pour le flou !). Merci à vous.