Monsieur HR sur 11 janvier 2018 Ă 15h36 Curieux. Le titre induit un raisonnement: boucan, oui sĂ»rement, rien qu’Ă voir la poussière ! Aujourd’hui, il est pour s’offusquer qu’on Ă©voque, ne serait ce que l’idĂ©e,la pĂ©nibilitĂ© du travail.Cette photo tĂ©moigne nettement de sa rĂ©alitĂ©.
jb81 sur 12 janvier 2018 Ă 10h19 Des travaux manuels qui sont toujours aussi physiques et pĂ©nibles…et l’on ne pas qualifier de rĂ©volutionnaires les mesurettes dont-ils bĂ©nĂ©ficient… Cette pdv tĂ©moigne parfaitement de ces conditions!
Estienne sur 12 janvier 2018 Ă 21h19 L’image traduit bien le titre … du vaporeux nuage de poussières jusqu’Ă ce fond noir et de l’ouvrier noir au masque blanc : excellent !
JLB sur 13 janvier 2018 Ă 10h11 Cet oeil tire un puissant fil invisible mais structurant entre l’ouvrier et le photographe/spectateur.
MFL sur 29 janvier 2018 à 20h21 Beaucoup de force dans ce cliché qui semble sortir des archives de Lewis W. Hine
Curieux. Le titre induit un raisonnement: boucan, oui sĂ»rement, rien qu’Ă voir la poussière !
Aujourd’hui, il est pour s’offusquer qu’on Ă©voque, ne serait ce que l’idĂ©e,la pĂ©nibilitĂ© du travail.Cette photo tĂ©moigne nettement de sa rĂ©alitĂ©.
Quel oeil !
Des travaux manuels qui sont toujours aussi physiques et pĂ©nibles…et l’on ne pas qualifier de rĂ©volutionnaires les mesurettes dont-ils bĂ©nĂ©ficient…
Cette pdv témoigne parfaitement de ces conditions!
…et l’on ne peut pas…
L’image traduit bien le titre … du vaporeux nuage de poussières jusqu’Ă ce fond noir et de l’ouvrier noir au masque blanc : excellent !
Cet oeil tire un puissant fil invisible mais structurant entre l’ouvrier et le photographe/spectateur.
Merci pour vos commentaires !!!
Beaucoup de force dans ce cliché qui semble sortir des archives de Lewis W. Hine