09092016-dscf6534-2Anne Luneau et Philippe Marchand interprètent Gaston Couté




Monsieur HR

NĂ© en 1949, habite Tours (37), retraitĂ© et syndicaliste Je dirais bien que j'aime mettre mon "grain de sel" mais cette expression est dĂ©jĂ  utilisĂ©e (Ă  bon escient) par un autre photographe sur le blog . Je pratique la photo en pointillĂ©, de manière un peu erratique, sans vĂ©ritable style personnel nettement dĂ©fini, avec un petit goĂ»t pour le flou, souvent mal maĂ®trisĂ© d'ailleurs J'Ă©prouve un vrai plaisir Ă  dialoguer sur le blog et je pense que ma pratique, notamment celle du post traitement informatique de la photo s'est amĂ©liorĂ©e grĂ¢ce Ă  ces Ă©changes
17 Commentaires
  1. Ah ! du “pep” joyeux ! Ca fait du bien …

  2. Ca alors! Philippe est un si vieux copain qu’on ne se voit jamais. Ca date des annĂ©es 68. J’ai de ses nouvelles de temps en temps par Patrick, mais le retrouver Ă  travers ton objectif me fait plus que drĂ´le. Hormis les cheveux, il n’a pas tellement changĂ©: toujours l’envie de se marrer et de faire rire les yeux. Je me doutais bien qu’il aimait Gaston CoutĂ©, mais Ă  ce point-lĂ !
    Merci Hervé pour ce rendez-vous impromptu et électronique.

  3. Vraiment content , François, de t’avoir fait cette surprise. DĂ©cidĂ©ment, pour nous LVEG est un site de retrouvailles.
    Ci dessous le site de Philippe (oĂ¹ l’on peut dĂ©sormais retrouver cette photo):
    http://www.lespetitsdesordres.com/
    Si tu le souhaites je peux te communiquer son adresse Mail.

  4. Maria, c’est vrai que ça fait du bien (mĂªme si parfois CoutĂ© est poignant) je suis sĂ»r que tu aurais apprĂ©ciĂ© cette soirĂ©e.

  5. Oui oui HervĂ©, bien sĂ»r. Je lui enverrai un petit mot et plus si affinitĂ©s…

  6. super chouette…;-)

  7. Bonjour,

    Une belle complicitĂ©… “La trompette de la vie” quoi !!!

    Belle journée et à bientôt.

  8. Un bel Ă©change de regards complices et rieurs !

  9. VoilĂ  une belle photo de concert (champĂªtre) !
    Une toute petite remarque technique : la main du chanteur pourrait Ăªtre un peu Ă©claircie.
    Mais quelle ambiance.

  10. Merci Ă  JM, Ă  JF et au blagueur pour qui j’ai blanchi la main de Philippe. DĂ©tail curieux, une des chansons de CoutĂ© s’intitule “Les mains blanches”.

  11. RĂ©jouissant!

  12. CoutĂ© … je ne connais pas. Mais… les Mains blanches c’est de MontĂ©hus…
    La prochaine fois je vous le chanterai!

    “Ils ont les mains blanches…
    les mains maquillées

  13. Il a les mains blanches,
    Les mains maquillées,
    Il a les mains blanches,
    Par la honte souillées.
    Ca sent la paresse, c’est mou, c’est gnan-gnan,
    VoilĂ  c’qu’on appelle des mains de feignant !

    On chantait ça aux Cahiers de Mai avec Daniel Anselme en buvant un coup et en riant beaucoup!… Ah! les annĂ©es 70…

  14. Celle de Montehus je la connais aussi. N’empĂªche que j’aimerais bien l’entendre de vive voix. Les cahiers de mai: beaux souvenirs.

    Voici la version de Couté (pour une fois, pas en patois beauceron):

    LES MAINS BLANCHES, BLANCHES…
    Elle avait les mains blanches, blanches,
    Comme deux frĂªles branches
    D’un aubier de mai ;
    Elle avait les mains blanches, blanches
    Et c’est pour ça que je l’aimais.

    Elle travaillait aux vignes ;
    Mais les caresses malignes
    Du grand soleil
    Et l’affront des hĂ¢les
    Avaient respectĂ© sa chair pĂ¢le
    OĂ¹ trĂ´nait mon baiser vermeil.

    Et ses mains restaient blanches, blanches,
    Comme deux frĂªles branches
    D’un aubier de mai.
    Et ses mains restaient blanches, blanches
    Et toujours ! toujours ! je l’aimais !

    Mais un monsieur de la ville
    Avec ses billets de mille
    Bien épinglés
    Vint trouver son père
    Aux fins des vendanges dernières
    Et s’arrangea pour me voler…

    Me voler la main blanche, blanche,
    Comme une frĂªle branche
    D’un aubier de mai,
    Me voler la main blanche, blanche
    La main de celle que j’aimais !

    Au seul penser de la scène
    OĂ¹ l’Autre, en sa patte pleine
    D’or et d’argent,
    Broierait les mains chères
    Au nez du maire et du vicaire,
    J’ai laissĂ© ma raison aux champs.

    Lui ! toucher aux mains blanches, blanches,
    Comme deux frĂªles branches
    D’un aubier de mai,
    Lui ! toucher aux mains blanches, blanches,
    Aux mains de celle que j’aimais !

    La veille du mariage,
    Chez le charron du village
    Je fus quérir
    Un fer de cognée,
    Et m’en servis Ă  la nuitĂ©e,
    Quand ma belle fut Ă  dormir.

    J’ai coupĂ© ses mains blanches, blanches,
    Comme deux frĂªles branches
    D’un aubier de mai,
    J’ai coupĂ© ses mains blanches, blanches…
    C’Ă©tait pour ça que je l’aimais !

  15. Une belle complicité, des regards savoureux, un plaisir de chanter ensemble qui se voit dans cette photo : belle image !

  16. Chouette moment de joie et de complicitĂ© bien saisi. On pourrait croire que c’est posĂ©.

  17. Merci Ă  vous deux d’avoir pris plaisir Ă  cette photo.
    Mowgli, on a l’impression que c’est posĂ© parce que, pour dĂ©clencher, j’attendais que les comĂ©diens soient au bout de leur mouvement, avec un lĂ©ger temps d’immobilitĂ©.

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