Né en 1949, habite Tours (37), retraité et syndicaliste
Je dirais bien que j'aime mettre mon "grain de sel" mais cette expression est déjà utilisée (à bon escient) par un autre photographe sur le blog .
Je pratique la photo en pointillé, de manière un peu erratique, sans véritable style personnel nettement défini, avec un petit goût pour le flou, souvent mal maîtrisé d'ailleurs
J'éprouve un vrai plaisir à dialoguer sur le blog et je pense que ma pratique, notamment celle du post traitement informatique de la photo s'est améliorée grâce à ces échanges
17 Commentaires
maria
sur 7 octobre 2016 à 16h36
Ah ! du “pep” joyeux ! Ca fait du bien …
François Cardi
sur 7 octobre 2016 à 16h38
Ca alors! Philippe est un si vieux copain qu’on ne se voit jamais. Ca date des années 68. J’ai de ses nouvelles de temps en temps par Patrick, mais le retrouver à travers ton objectif me fait plus que drôle. Hormis les cheveux, il n’a pas tellement changé: toujours l’envie de se marrer et de faire rire les yeux. Je me doutais bien qu’il aimait Gaston Couté, mais à ce point-là!
Merci Hervé pour ce rendez-vous impromptu et électronique.
Monsieur HR
sur 7 octobre 2016 à 17h49
Vraiment content , François, de t’avoir fait cette surprise. Décidément, pour nous LVEG est un site de retrouvailles.
Ci dessous le site de Philippe (où l’on peut désormais retrouver cette photo): http://www.lespetitsdesordres.com/
Si tu le souhaites je peux te communiquer son adresse Mail.
Monsieur HR
sur 7 octobre 2016 à 17h59
Maria, c’est vrai que ça fait du bien (même si parfois Couté est poignant) je suis sûr que tu aurais apprécié cette soirée.
François Cardi
sur 7 octobre 2016 à 18h10
Oui oui Hervé, bien sûr. Je lui enverrai un petit mot et plus si affinités…
Philippe Schalk
sur 7 octobre 2016 à 20h34
super chouette…;-)
JMLG
sur 8 octobre 2016 à 10h05
Bonjour,
Une belle complicité… “La trompette de la vie” quoi !!!
Voilà une belle photo de concert (champêtre) !
Une toute petite remarque technique : la main du chanteur pourrait être un peu éclaircie.
Mais quelle ambiance.
Monsieur HR
sur 8 octobre 2016 à 10h59
Merci à JM, à JF et au blagueur pour qui j’ai blanchi la main de Philippe. Détail curieux, une des chansons de Couté s’intitule “Les mains blanches”.
Couté … je ne connais pas. Mais… les Mains blanches c’est de Montéhus…
La prochaine fois je vous le chanterai!
“Ils ont les mains blanches…
les mains maquillées
brigitte david
sur 8 octobre 2016 à 16h40
Il a les mains blanches,
Les mains maquillées,
Il a les mains blanches,
Par la honte souillées.
Ca sent la paresse, c’est mou, c’est gnan-gnan,
Voilà c’qu’on appelle des mains de feignant !
On chantait ça aux Cahiers de Mai avec Daniel Anselme en buvant un coup et en riant beaucoup!… Ah! les années 70…
Monsieur HR
sur 8 octobre 2016 à 16h44
Celle de Montehus je la connais aussi. N’empêche que j’aimerais bien l’entendre de vive voix. Les cahiers de mai: beaux souvenirs.
Voici la version de Couté (pour une fois, pas en patois beauceron):
LES MAINS BLANCHES, BLANCHES…
Elle avait les mains blanches, blanches,
Comme deux frêles branches
D’un aubier de mai ;
Elle avait les mains blanches, blanches
Et c’est pour ça que je l’aimais.
Elle travaillait aux vignes ;
Mais les caresses malignes
Du grand soleil
Et l’affront des hâles
Avaient respecté sa chair pâle
Où trônait mon baiser vermeil.
Et ses mains restaient blanches, blanches,
Comme deux frêles branches
D’un aubier de mai.
Et ses mains restaient blanches, blanches
Et toujours ! toujours ! je l’aimais !
Mais un monsieur de la ville
Avec ses billets de mille
Bien épinglés
Vint trouver son père
Aux fins des vendanges dernières
Et s’arrangea pour me voler…
Me voler la main blanche, blanche,
Comme une frêle branche
D’un aubier de mai,
Me voler la main blanche, blanche
La main de celle que j’aimais !
Au seul penser de la scène
Où l’Autre, en sa patte pleine
D’or et d’argent,
Broierait les mains chères
Au nez du maire et du vicaire,
J’ai laissé ma raison aux champs.
Lui ! toucher aux mains blanches, blanches,
Comme deux frêles branches
D’un aubier de mai,
Lui ! toucher aux mains blanches, blanches,
Aux mains de celle que j’aimais !
La veille du mariage,
Chez le charron du village
Je fus quérir
Un fer de cognée,
Et m’en servis à la nuitée,
Quand ma belle fut à dormir.
J’ai coupé ses mains blanches, blanches,
Comme deux frêles branches
D’un aubier de mai,
J’ai coupé ses mains blanches, blanches…
C’était pour ça que je l’aimais !
Estienne
sur 9 octobre 2016 à 8h18
Une belle complicité, des regards savoureux, un plaisir de chanter ensemble qui se voit dans cette photo : belle image !
Chouette moment de joie et de complicité bien saisi. On pourrait croire que c’est posé.
Monsieur HR
sur 11 octobre 2016 à 9h39
Merci à vous deux d’avoir pris plaisir à cette photo.
Mowgli, on a l’impression que c’est posé parce que, pour déclencher, j’attendais que les comédiens soient au bout de leur mouvement, avec un léger temps d’immobilité.
Ah ! du “pep” joyeux ! Ca fait du bien …
Ca alors! Philippe est un si vieux copain qu’on ne se voit jamais. Ca date des années 68. J’ai de ses nouvelles de temps en temps par Patrick, mais le retrouver à travers ton objectif me fait plus que drôle. Hormis les cheveux, il n’a pas tellement changé: toujours l’envie de se marrer et de faire rire les yeux. Je me doutais bien qu’il aimait Gaston Couté, mais à ce point-là!
Merci Hervé pour ce rendez-vous impromptu et électronique.
Vraiment content , François, de t’avoir fait cette surprise. Décidément, pour nous LVEG est un site de retrouvailles.
Ci dessous le site de Philippe (où l’on peut désormais retrouver cette photo):
http://www.lespetitsdesordres.com/
Si tu le souhaites je peux te communiquer son adresse Mail.
Maria, c’est vrai que ça fait du bien (même si parfois Couté est poignant) je suis sûr que tu aurais apprécié cette soirée.
Oui oui Hervé, bien sûr. Je lui enverrai un petit mot et plus si affinités…
super chouette…;-)
Bonjour,
Une belle complicité… “La trompette de la vie” quoi !!!
Belle journée et à bientôt.
Un bel échange de regards complices et rieurs !
Voilà une belle photo de concert (champêtre) !
Une toute petite remarque technique : la main du chanteur pourrait être un peu éclaircie.
Mais quelle ambiance.
Merci à JM, à JF et au blagueur pour qui j’ai blanchi la main de Philippe. Détail curieux, une des chansons de Couté s’intitule “Les mains blanches”.
Réjouissant!
Couté … je ne connais pas. Mais… les Mains blanches c’est de Montéhus…
La prochaine fois je vous le chanterai!
“Ils ont les mains blanches…
les mains maquillées
Il a les mains blanches,
Les mains maquillées,
Il a les mains blanches,
Par la honte souillées.
Ca sent la paresse, c’est mou, c’est gnan-gnan,
Voilà c’qu’on appelle des mains de feignant !
On chantait ça aux Cahiers de Mai avec Daniel Anselme en buvant un coup et en riant beaucoup!… Ah! les années 70…
Celle de Montehus je la connais aussi. N’empêche que j’aimerais bien l’entendre de vive voix. Les cahiers de mai: beaux souvenirs.
Voici la version de Couté (pour une fois, pas en patois beauceron):
LES MAINS BLANCHES, BLANCHES…
Elle avait les mains blanches, blanches,
Comme deux frêles branches
D’un aubier de mai ;
Elle avait les mains blanches, blanches
Et c’est pour ça que je l’aimais.
Elle travaillait aux vignes ;
Mais les caresses malignes
Du grand soleil
Et l’affront des hâles
Avaient respecté sa chair pâle
Où trônait mon baiser vermeil.
Et ses mains restaient blanches, blanches,
Comme deux frêles branches
D’un aubier de mai.
Et ses mains restaient blanches, blanches
Et toujours ! toujours ! je l’aimais !
Mais un monsieur de la ville
Avec ses billets de mille
Bien épinglés
Vint trouver son père
Aux fins des vendanges dernières
Et s’arrangea pour me voler…
Me voler la main blanche, blanche,
Comme une frêle branche
D’un aubier de mai,
Me voler la main blanche, blanche
La main de celle que j’aimais !
Au seul penser de la scène
Où l’Autre, en sa patte pleine
D’or et d’argent,
Broierait les mains chères
Au nez du maire et du vicaire,
J’ai laissé ma raison aux champs.
Lui ! toucher aux mains blanches, blanches,
Comme deux frêles branches
D’un aubier de mai,
Lui ! toucher aux mains blanches, blanches,
Aux mains de celle que j’aimais !
La veille du mariage,
Chez le charron du village
Je fus quérir
Un fer de cognée,
Et m’en servis à la nuitée,
Quand ma belle fut à dormir.
J’ai coupé ses mains blanches, blanches,
Comme deux frêles branches
D’un aubier de mai,
J’ai coupé ses mains blanches, blanches…
C’était pour ça que je l’aimais !
Une belle complicité, des regards savoureux, un plaisir de chanter ensemble qui se voit dans cette photo : belle image !
Chouette moment de joie et de complicité bien saisi. On pourrait croire que c’est posé.
Merci à vous deux d’avoir pris plaisir à cette photo.
Mowgli, on a l’impression que c’est posé parce que, pour déclencher, j’attendais que les comédiens soient au bout de leur mouvement, avec un léger temps d’immobilité.