Cela m’évoque quelques coins que j’aime bien dans le Pilat entre clairière lumineuse et sous-bois de sapinière bien sombre. Le cadrage me plait bien qui met l’accent sur ces herbes sèches. Quelques champignons aussi se dévoilent en lisière … J’aurai peut-être accentué l’ombre du sous-bois …
brigitte david
sur 3 septembre 2016 à 16h14
Merci Estienne. Oui j’y ai pensé à accentuer l’ombre… Je vais voir ce que je peux faire!
Pas le Pilat… toujours la Lozère!
Monsieur HR
sur 3 septembre 2016 à 18h33
Un peu l’impression de voir le négatif de la photo de Marie Rougerie.
Ces herbes foulées peuvent effectivement suggèrer le passage de l’Ours, comme l’a si bien fait Jean-Jacques Annau dans « l’Ours » justement en montrant une » scène du crime » ou l’animal n’apparait mais où sa puissance destructrice se lit dans les désordres engendrés par son passage. Bon, ici , je vois plutôt la marque d’une étreinte furtive et contre nature entre un Dahu et une vache landaise, mais évidemment, chacun y voit ce qu’il veut … 🙂
brigitte david
sur 5 septembre 2016 à 19h55
le proche et le lointain, la lumière et l’ombre.
Le titre est emprunté à ma petite fille qui nomme toujours un lieu par cette expression dont je raffole: « Ici-là »!
je n’aurais pas pensé au négatif de la photo de marie… Mais pourquoi pas!
Cela m’évoque quelques coins que j’aime bien dans le Pilat entre clairière lumineuse et sous-bois de sapinière bien sombre. Le cadrage me plait bien qui met l’accent sur ces herbes sèches. Quelques champignons aussi se dévoilent en lisière … J’aurai peut-être accentué l’ombre du sous-bois …
Merci Estienne. Oui j’y ai pensé à accentuer l’ombre… Je vais voir ce que je peux faire!
Pas le Pilat… toujours la Lozère!
Un peu l’impression de voir le négatif de la photo de Marie Rougerie.
Ces herbes foulées peuvent effectivement suggèrer le passage de l’Ours, comme l’a si bien fait Jean-Jacques Annau dans « l’Ours » justement en montrant une » scène du crime » ou l’animal n’apparait mais où sa puissance destructrice se lit dans les désordres engendrés par son passage. Bon, ici , je vois plutôt la marque d’une étreinte furtive et contre nature entre un Dahu et une vache landaise, mais évidemment, chacun y voit ce qu’il veut … 🙂
le proche et le lointain, la lumière et l’ombre.
Le titre est emprunté à ma petite fille qui nomme toujours un lieu par cette expression dont je raffole: « Ici-là »!
je n’aurais pas pensé au négatif de la photo de marie… Mais pourquoi pas!