brigitte david sur 23 mai 2016 Ă 8h53 Un imaginaire Ă dĂ©crasser tant il pue le XI° siècle satisfait, avec ses fantasmes de femmes mortes. IrrĂ©prochable mais Ă c…. Pour les femmes vivantes on peut prĂ©fĂ©rer les fantasmes actualisĂ©s de Jacques Serena, notamment une sĂ©rie qu’il Ă©grène jour Ă jour sur facebook….
brigitte david sur 23 mai 2016 Ă 8h55 Une femme de cabinet de curiositĂ©. EmpaillĂ©e parmi tant d’autres.
blagapart sur 23 mai 2016 Ă 10h36 Une photo qui dechaine tant de haine ne peut Ăªtre qu’interessante ! Pour les femmes vivantes, on en voit tous les jours dans les rues, chez soi… Ce n’est pas forcĂ©ment le but ultime de la photo que de rendre cette vie. Par essence, la photo est une petite mort.
brigitte david sur 23 mai 2016 Ă 11h24 Quand on emprunte un symbolisme usĂ© jusqu’Ă la corde, une pointe d’humour n’est pas superflue. La reprĂ©sentation des femmes a ses codes. La femme que je suis – qui en entend de toutes les couleurs sur la qualitĂ© douteuse de ses photos – peut quand mĂªme aborder les airs abrutis qui passent pour de l’extase et la femme judicieusement inclinĂ©e sur son radiateur… pour dire qu’elle trouve la photo techniquement parfaite , mais le sujet nullissime. Les poupĂ©es, la femme nue… Je garde ma “haine” pour des sujets plus importants s’il en est. Le glauque teintĂ© de rance trouvera ses adeptes dont je ne fais pas partie!
Estienne sur 23 mai 2016 Ă 11h33 Je ne suis pas un amateur de ce genre de photos. Alors, plus techniquement, je regrette ce gris envahissant que j’aurai bien Ă©clairci un peu …
anonyme sur 23 mai 2016 à 16h28 Je regarde de temps à autres votre site et apprécie les talens et là je vois une photo assez irrévérencieuse pour la femme proche du kitsch des portraits des muses de Picabia
Un imaginaire Ă dĂ©crasser tant il pue le XI° siècle satisfait, avec ses fantasmes de femmes mortes. IrrĂ©prochable mais Ă c….
Pour les femmes vivantes on peut prĂ©fĂ©rer les fantasmes actualisĂ©s de Jacques Serena, notamment une sĂ©rie qu’il Ă©grène jour Ă jour sur facebook….
Une femme de cabinet de curiositĂ©. EmpaillĂ©e parmi tant d’autres.
Une photo qui dechaine tant de haine ne peut Ăªtre qu’interessante !
Pour les femmes vivantes, on en voit tous les jours dans les rues, chez soi… Ce n’est pas forcĂ©ment le but ultime de la photo que de rendre cette vie. Par essence, la photo est une petite mort.
Quand on emprunte un symbolisme usĂ© jusqu’Ă la corde, une pointe d’humour n’est pas superflue. La reprĂ©sentation des femmes a ses codes. La femme que je suis – qui en entend de toutes les couleurs sur la qualitĂ© douteuse de ses photos – peut quand mĂªme aborder les airs abrutis qui passent pour de l’extase et la femme judicieusement inclinĂ©e sur son radiateur… pour dire qu’elle trouve
la photo techniquement parfaite , mais le sujet nullissime. Les poupĂ©es, la femme nue…
Je garde ma “haine” pour des sujets plus importants s’il en est. Le glauque teintĂ© de rance trouvera ses adeptes dont je ne fais pas partie!
Je ne suis pas un amateur de ce genre de photos. Alors, plus techniquement, je regrette ce gris envahissant que j’aurai bien Ă©clairci un peu …
C’ est vrai que cela me semble un peu nunuche …
Je regarde de temps à autres votre site et apprécie les talens et là je vois une photo assez irrévérencieuse pour la femme proche du kitsch des portraits des muses de Picabia