Héron garde-boeufs (Ibis) dont l’aire de répartition quasiment mondiale (Europe, Afrique, Asie et Amérique) est liée au développement de l’élevage des bovidés avec lesquels l’oiseau entretient des relations de symbiose.




Jean Fraipont

« Il s'agit de trouver quelque chose d'intéressant dans un endroit ordinaire... Cela n'a pas grand-chose à voir avec les choses que vous voyez, mais cela a tout à voir avec la façon dont vous les voyez. » Elliott ERWITT
8 Commentaires
  1. Belle image à forte portée symbolique.

  2. je vais faire mn casse-pied mais il ne s’agit en aucun cas d’une symbiose, au mieux d’une relation commensale. pour le reste un sujet de “noiretblantiste” avec une sympathique opposition de tons et de lignes. je suis surpris par l’effet mouvant des flous d’arrière-plan.

  3. Merci de vous être arrêtés à cette fable !
    @Adrien : c’est vrai que “symbiose” est trop fort car il n’y a pas de dépendance entre espèces. Mais “commensalisme” est trop faible (les deux espèces cohabitent sans interaction particulière). Ce serait plutôt du mutualisme où les deux se rendent service.

  4. Un beau sujet N&B et, comme Adrien, surpris du mouvement autour des deux animaux : il devait y avoir du vent !

  5. Merci pour la ballade à CUBA, avec des sujets aussi variés qu’intéressants.

  6. Effectivement l’hyper netteté des deux animaux est étrange vu le flou d’avant et d’arrière plan (surtout sur le héron). Les contours sont tellement nets que cela donne une impression de collage.

  7. Bien vu !

  8. Merci pour vos commentaires !
    @Adrien et Estienne : un curieux mouvement que je ne m’explique pas. Non, pas de vent et je roulais au pas.
    @Henri : pour les contours, sans doute un coup de “accentuer les contours” en trop !

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