Sous les palmiers et les arbres fruitiers comme le tamarinier et le goyavier, des cultures protégées ainsi du vent et des fortes pluies prennent place en très petites parcelles (10 à 20 m2). Pour éviter l’érosion des sols, la terre n’est découverte qu’au moment des semis, de la plantation ou de la récolte, comme ici celle du Taro dont les énormes rhizomes sont un équivalent de la pomme de terre.
Très belle photo dont le format suggère le mouvement du planteur.
J’ai cueilli les goyaves à Cuba.Et les grains de café. Et gâché le ciment de mes blanches mains à la construction d’une école. On avait droit dans la matinée à un jus de fruit au goût inoubliable: goyave ou citron vert…
C’est juste, on pense à ces photographies stroboscopiques de … zut j’ai oublié son nom.
à part le flou grisé en avant plan, une photo étonnante dans sa radicalité graphique pour présenté un sujet “agricole”. à contre-pied du souvent convenu “réalisme” utilisé pour traité ce type de sujet. une excellente idée.
C’est vrai que cela évoque ces photos stroboscopiques avec, en même temps, un personnage de Jacques Tati …
L’intelligence est là … Qui nous semble marginale, alors que ce mode de culture devrait être la règle.
Comme l’on déjà dit M.HR et Estienne, la première vision suggère une chronophotographie de Marey. Le traitement très contrasté est inhabituel et donne une belle matière à la terre.
Merci JLB d’avoir suppléé à ma mémoire défaillante.
Merci pour vos retours toujours appréciés !
Une belle diagonale végétale, une belle mise en lumière du jardinier!