« Il s'agit de trouver quelque chose d'intéressant dans un endroit ordinaire... Cela n'a pas grand-chose à voir avec les choses que vous voyez, mais cela a tout à voir avec la façon dont vous les voyez. »
Elliott ERWITT
9 Commentaires
Monsieur HR
sur 21 octobre 2015 à 21h35
Sympa quand la l’enseigne clignote toute la nuit (même si le O et le T sont HS)alors que l’on cherche le sommeil.
brigitte david
sur 22 octobre 2015 à 7h08
Il y a quelque chose comme « après l’incendie » dans cette photo. Ombre charbonneuse, fenêtre béante. Ca me rappelle une oeuvre d’Anish Kapoor – et ça l’éclaire différemment de ce que j’avais perçu – Elle se trouvait dans une cage d’escalier blanche , apparaissait comme un monochrome noir flanqué sur le mur, mais quand on s’approchait il y avait un au-delà du mur, un gouffre de noirceur sans fin…
Photo de jour ou de nuit ? A part cette question qui me taraude l’esprit , j’apprécie le cadrage, le mystère autour des chambres et ce noir et blanc si particulier qui me fait penser à certains tirages d’autrefois.
Crépuscule ! Avec les néons restants qui illuminent faiblement la partie droite de la façade et une ambiance très intéressante : ces ombres « charbonneuses » (comme aime à le dire Henri) sont le sujet à elles toutes seules !
Merci pour votre retour toujours apprécié !
@Monsieur HR : ouf, ça ne clignotait pas ! 🙂
@Brigitte : « après l’incendie », oui je comprends ce que tu veux dire car cette fenêtre ouverte sur le noir m’a aussi fasciné, plus encore que celle du milieu.
@Brigitte et Estienne : j’aime beaucoup ce terme d’ombres charbonneuses, même si j’ai encore du boulot pour y arriver.
@José et Estienne : crépuscule, oui, au petit matin.
adrien pairraud
sur 23 octobre 2015 à 20h00
tout fut dit par mes prédécesseurs mais j’en remets une couche : le cadrage frontal convient parfaitement au sujet et la luminosité faiblarde a été bien captée et traitée. une photo pas aussi facile qu’elle peut en avoir l’air et surtout qui ouvre sur des histoires … plutôt noires !
J’ai le même sentiment que Brigitte (« après l’incendie »), du fait des jeux d’ombre et de lumière.
La fenêtre de gauche restitue une part de mystère : que se passe-t-il derrière ?
Mais mon œil est perturbé par le haut de l’image qui le détourne de ce qui me semble être, avec l’enseigne, le point fort de l’image.
Sympa quand la l’enseigne clignote toute la nuit (même si le O et le T sont HS)alors que l’on cherche le sommeil.
Il y a quelque chose comme « après l’incendie » dans cette photo. Ombre charbonneuse, fenêtre béante. Ca me rappelle une oeuvre d’Anish Kapoor – et ça l’éclaire différemment de ce que j’avais perçu – Elle se trouvait dans une cage d’escalier blanche , apparaissait comme un monochrome noir flanqué sur le mur, mais quand on s’approchait il y avait un au-delà du mur, un gouffre de noirceur sans fin…
Photo de jour ou de nuit ? A part cette question qui me taraude l’esprit , j’apprécie le cadrage, le mystère autour des chambres et ce noir et blanc si particulier qui me fait penser à certains tirages d’autrefois.
Crépuscule ! Avec les néons restants qui illuminent faiblement la partie droite de la façade et une ambiance très intéressante : ces ombres « charbonneuses » (comme aime à le dire Henri) sont le sujet à elles toutes seules !
Merci pour votre retour toujours apprécié !
@Monsieur HR : ouf, ça ne clignotait pas ! 🙂
@Brigitte : « après l’incendie », oui je comprends ce que tu veux dire car cette fenêtre ouverte sur le noir m’a aussi fasciné, plus encore que celle du milieu.
@Brigitte et Estienne : j’aime beaucoup ce terme d’ombres charbonneuses, même si j’ai encore du boulot pour y arriver.
@José et Estienne : crépuscule, oui, au petit matin.
tout fut dit par mes prédécesseurs mais j’en remets une couche : le cadrage frontal convient parfaitement au sujet et la luminosité faiblarde a été bien captée et traitée. une photo pas aussi facile qu’elle peut en avoir l’air et surtout qui ouvre sur des histoires … plutôt noires !
… ou roses, mais ici histoire glauque, ce qui est pourtant une belle couleur ! Merci Adrien
J’ai le même sentiment que Brigitte (« après l’incendie »), du fait des jeux d’ombre et de lumière.
La fenêtre de gauche restitue une part de mystère : que se passe-t-il derrière ?
Mais mon œil est perturbé par le haut de l’image qui le détourne de ce qui me semble être, avec l’enseigne, le point fort de l’image.
On prendra la double avec le joli balcon.