Jean Fraipont sur 27 juillet 2015 Ă 14h40 Avec ce point de vue, la rambarde, presqu’Ă l’horizontale, remplace l’horizon et annule l’intĂ©rĂªt de l’environnement marin. L’accent est mis sur le plancher de la passerelle qui dĂ©finit la perspective en mĂªme temps que les barres mĂ©talliques en aluminium brossĂ©. On voit bien que le plancher est constituĂ© de lattes transversales en ipĂ©, bois imputrescible, rivetĂ©es dans les madriers mĂ©talliques longitudinaux. En recoupant la photo juste au dessus de la rambarde, cette photo mĂ©riterait de figurer sur le site de la sociĂ©tĂ© qui a fabriquĂ© cette passerelle (Saint-Nicolas aux Sables d’Olonne)
Estienne sur 27 juillet 2015 Ă 15h07 LĂ , on a affaire Ă un spĂ©cialiste du sujet de la photographie proposĂ©e ! Moi, j’aurai juste notĂ© qu’on devine la mer plus qu’on ne la voit et que les embruns ne sont pas Ă©vidents compte tenu de la mĂ©tĂ©o. D’autre part, l’angle de prise de vue ne me parait pas optimal …
Jean Fraipont sur 27 juillet 2015 à 15h14 Non, je ne suis jamais allé en Vendée et je ne suis pas spécialiste de constructions métalliques. Juste une observation minutieuse de ce que je vois.
Tristan. sur 27 juillet 2015 Ă 16h47 D’accord avec Estienne. Verticalement, c’est une sorte de “compromis” pour avoir un peu de tout, pas franchement convaincant. Je pense qu’il aurait fallu descendre ou monter franchement.
adrien pairraud sur 27 juillet 2015 Ă 18h36 je rejoins les commentaires prĂ©cĂ©dents, le titre ne correspond guère Ă ce que l’on voit … l’usage des lignes directrices est bien amenĂ©, mais la mer est totalement absente.
Jean Fraipont sur 28 juillet 2015 Ă 10h57 Le titre a Ă©tĂ© modifiĂ©, mais ça cogne toujours. La tĂªte Ă gauche sur la main courante et le regard sur le mur. Il y a tout de mĂªme deux silhouettes fĂ©minines intĂ©ressantes qui se dĂ©coupent Ă droite, mais c’est loin.
Belles diagonales qui conduisent sur les personnages.
Avec ce point de vue, la rambarde, presqu’Ă l’horizontale, remplace l’horizon et annule l’intĂ©rĂªt de l’environnement marin. L’accent est mis sur le plancher de la passerelle qui dĂ©finit la perspective en mĂªme temps que les barres mĂ©talliques en aluminium brossĂ©. On voit bien que le plancher est constituĂ© de lattes transversales en ipĂ©, bois imputrescible, rivetĂ©es dans les madriers mĂ©talliques longitudinaux.
En recoupant la photo juste au dessus de la rambarde, cette photo mĂ©riterait de figurer sur le site de la sociĂ©tĂ© qui a fabriquĂ© cette passerelle (Saint-Nicolas aux Sables d’Olonne)
LĂ , on a affaire Ă un spĂ©cialiste du sujet de la photographie proposĂ©e ! Moi, j’aurai juste notĂ© qu’on devine la mer plus qu’on ne la voit et que les embruns ne sont pas Ă©vidents compte tenu de la mĂ©tĂ©o. D’autre part, l’angle de prise de vue ne me parait pas optimal …
Non, je ne suis jamais allé en Vendée et je ne suis pas spécialiste de constructions métalliques. Juste une observation minutieuse de ce que je vois.
Très minutieuse !
Quasi Holmesienne !
ElĂ©mentaire, mon cher Watson ! đŸ™‚
D’accord avec Estienne. Verticalement, c’est une sorte de “compromis” pour avoir un peu de tout, pas franchement convaincant. Je pense qu’il aurait fallu descendre ou monter franchement.
je rejoins les commentaires prĂ©cĂ©dents, le titre ne correspond guère Ă ce que l’on voit … l’usage des lignes directrices est bien amenĂ©, mais la mer est totalement absente.
Le titre a Ă©tĂ© modifiĂ©, mais ça cogne toujours. La tĂªte Ă gauche sur la main courante et le regard sur le mur. Il y a tout de mĂªme deux silhouettes fĂ©minines intĂ©ressantes qui se dĂ©coupent Ă droite, mais c’est loin.
J’aime bien et cette rambarde est superbe.