Eric Boumard-Charrier sur 2 mai 2015 à 10h31 Quel dégradé, j’y vois presque de la couleur, Brigitte tu dois sûrement être dans une sérénité pour une telle prise, cordialement
GBertrand sur 2 mai 2015 à 11h02 On pense au “Déjeuner sur l’herbe”, le film (celui du fils Jean) ou au “Bonheur” d’Agnès Varda… Soit une soyeuse clairière chargée de promesses de voluptés, en quelque sorte.
JLB sur 2 mai 2015 à 12h49 Une prairie d’herbes folles soyeuses et lumineuses, le refuge possible de l’ombre des arbres de l’arrière plan, l’endroit est parfait, le moment accueillant, pour se délecter du printemps… et de l’image (surtout lorsqu’il pleut sans arrêt depuis 2 jours!)
brigitte david sur 2 mai 2015 à 13h25 Merci à vous trois. Eric… Tu parles de couleurs. Bien vu. L’original en couleurs me plait beaucoup.Pour la sérénité… Un solide sens de l’humour ne suffit pas? G. Bertrand. Les promesses de volupté sont adressées par Gilles Clément aux élèves de Normale Sup Lettres, à Lyon… Pour le fiston Renoir (que j’adore!) oui. je ne me souviens pas d’une scène du Bonheur de dame Varda qui pourrait l’évoquer. JLB; Ah le printemps tardif ça fait aussi de beaux films!
Estienne sur 2 mai 2015 à 17h57 Un petit peu trop sombre pour imaginer l’arrivée du printemps, il faudra encore attendre ! 😉
Jean-Marc Silvestre sur 2 mai 2015 à 21h35 Belle lumière, mais je ne vois pas le muguet qui n’est pas un porte-bonheur, mais une redoutable plante toxique mortelle…
brigitte david sur 2 mai 2015 à 21h39 Merci estienne pour ton passage. Jean-Marc, franchement… Tu as déjà rencontré des gens qui grignotent du muguet?…
Jean-Marc Silvestre sur 2 mai 2015 à 22h35 Il y a des cas, confusion avec l’ail des ours, il suffit même de boire l’eau qui a contenu un brin de muguet, les baies après la floraison qui sont très sucrées, etc.
Monsieur HR sur 3 mai 2015 à 11h48 Il y a aussi celui de Trousse chemise chanté par Aznavour ou celui, plus inquiétant des “bonnes femmes ” de Cahbrol. Les sous bois sont riches d’évocations possibles.
andreroques sur 3 mai 2015 à 20h25 Très bel éclairage ( que je n’avais pas remarqué lors de mon dernier passage sur LVEG à cause d’un rayon de soleil sur mon écran)
Quel dégradé, j’y vois presque de la couleur, Brigitte tu dois sûrement être dans une sérénité pour une telle prise, cordialement
On pense au “Déjeuner sur l’herbe”, le film (celui du fils Jean) ou au “Bonheur” d’Agnès Varda…
Soit une soyeuse clairière chargée de promesses de voluptés, en quelque sorte.
Une prairie d’herbes folles soyeuses et lumineuses, le refuge possible de l’ombre des arbres de l’arrière plan, l’endroit est parfait, le moment accueillant, pour se délecter du printemps… et de l’image (surtout lorsqu’il pleut sans arrêt depuis 2 jours!)
Merci à vous trois.
Eric… Tu parles de couleurs. Bien vu. L’original en couleurs me plait beaucoup.Pour la sérénité… Un solide sens de l’humour ne suffit pas?
G. Bertrand. Les promesses de volupté sont adressées par Gilles Clément aux élèves de Normale Sup Lettres, à Lyon…
Pour le fiston Renoir (que j’adore!) oui. je ne me souviens pas d’une scène du Bonheur de dame Varda qui pourrait l’évoquer.
JLB; Ah le printemps tardif ça fait aussi de beaux films!
Un petit peu trop sombre pour imaginer l’arrivée du printemps, il faudra encore attendre ! 😉
Belle lumière, mais je ne vois pas le muguet qui n’est pas un porte-bonheur, mais une redoutable plante toxique mortelle…
Merci estienne pour ton passage.
Jean-Marc, franchement… Tu as déjà rencontré des gens qui grignotent du muguet?…
Il y a des cas, confusion avec l’ail des ours, il suffit même de boire l’eau qui a contenu un brin de muguet, les baies après la floraison qui sont très sucrées, etc.
Il y a aussi celui de Trousse chemise chanté par Aznavour ou celui, plus inquiétant des “bonnes femmes ” de Cahbrol. Les sous bois sont riches d’évocations possibles.
Très bel éclairage ( que je n’avais pas remarqué lors de mon dernier passage sur LVEG à cause d’un rayon de soleil sur mon écran)
Merci à vous.