Effectivement, la poésie des zones industrielles n’est pas évidente ! Mais joli coup d’œil !
Mowgli
sur 26 mars 2015 à 17h01
Bel echo bien sur entre le panneau et le personnage, mais l’oeil rebondit entre le camion le personnage la poubelle le portail et le panneau sans arriver à se fixer me semble-t-il…
J’y vois une organisation complexe de rappels qui se font écho … Le personnage et le pictogramme bien sûr, mais aussi les volumes intérieurs sombres et les surfaces animées par des lignes droites, charpente, fenêtres, paroi intérieure du camion.
Pour reprendre les remarques de Monsieur HR, d’Adrien Pairraud, d’Estienne mais aussi de Mowgli et de JLB, c’est évidemment la concomitance de cet homme au travail dans un environnement brésilien et du pictogramme idéalisant son effort qui m’a donné l’idée de déclencher.
Malheureusement la lumière était un peu bizarre ce jour-là et la conversion en noir et blanc me paraît un peu palotte.
Cela ne vaudra pas un tirage Picto !
😉
@ Loïs = Il y avait un peu de cela au début, mais il y a longtemps que j’ai lâché l’affaire !
post scriptum = Au fait, l’anonyme, c’est moi : J’ai honte. Mais internet m’a lâché alors que je voulais rétablir…
@ Monsieur HR = “Ah ! Les problèmes de représentativité !” Et ceux de l’exploitation de l’homme par l’homme !
😀
@ Tristan = Ah ah ! Vous avez bien noté ce Belforte. J’ai failli tamponner cette marque de remorque…
😉
Moi j’ai un problème avec les poubelles dans le champ ( de façon générale).
Ici elles n’apportent rien au sujet ( ce n’est ni du social ni du reportage )et nuisent au graphisme puisqu’elles deviennent omniprésentes par leur tache claire.
J’aurai carrément cadré en pano horizontal pour au moins tronquer ou pourquoi pas supprimer le tas d’ordure et laisser l’oeil naviquer du camion et du bonhomme vers le le pictogramme
@ pingupingu = Au-delà du clin d’œil à une affaire de mise à la corbeille ciblée de commentaires de la part d’un éminent contributeur, ceci au mépris du principe de la liberté d’expression et de la vocation de ce blog, je pense que ce premier plan apporte sa note à cet instantané d’une ZAC brésilienne.
Pour moi il signifie une autre forme de mouvement, plus chaotique, ainsi qu’une opposition à la structure ordonnée du labeur et de sa représentation par pictogramme.
Et puis le Brésil est comme ça, et c’est ainsi qu’il faut le prendre !
🙂
Merci de votre avis.
Tu t’es offert un tirage chez picto ? Bien vu.
Aurais tu retrouvé mon commentaire dans ces sacs ? 😉
La politique de LVeG ne se fera pas à la corbeille !
@ Anonyme: excellent!
J’aime bien l’écart de posture entre le personnage en pictogramme et celui qu’il est censé représenter.
Ah ! Les problèmes de représentativité !
Bel(le et) forte. Beau cadrage aussi et une belle disposition des zones sombres et claires.
la poésie des zones industrielles … elle nécessite une bonne dose de second degré et surtout un oeil affuté. réussi.
Effectivement, la poésie des zones industrielles n’est pas évidente ! Mais joli coup d’œil !
Bel echo bien sur entre le panneau et le personnage, mais l’oeil rebondit entre le camion le personnage la poubelle le portail et le panneau sans arriver à se fixer me semble-t-il…
J’y vois une organisation complexe de rappels qui se font écho … Le personnage et le pictogramme bien sûr, mais aussi les volumes intérieurs sombres et les surfaces animées par des lignes droites, charpente, fenêtres, paroi intérieure du camion.
Merci à tous !
Pour reprendre les remarques de Monsieur HR, d’Adrien Pairraud, d’Estienne mais aussi de Mowgli et de JLB, c’est évidemment la concomitance de cet homme au travail dans un environnement brésilien et du pictogramme idéalisant son effort qui m’a donné l’idée de déclencher.
Malheureusement la lumière était un peu bizarre ce jour-là et la conversion en noir et blanc me paraît un peu palotte.
Cela ne vaudra pas un tirage Picto !
😉
@ Loïs = Il y avait un peu de cela au début, mais il y a longtemps que j’ai lâché l’affaire !
post scriptum = Au fait, l’anonyme, c’est moi : J’ai honte. Mais internet m’a lâché alors que je voulais rétablir…
@ Monsieur HR = “Ah ! Les problèmes de représentativité !” Et ceux de l’exploitation de l’homme par l’homme !
😀
@ Tristan = Ah ah ! Vous avez bien noté ce Belforte. J’ai failli tamponner cette marque de remorque…
😉
Moi j’ai un problème avec les poubelles dans le champ ( de façon générale).
Ici elles n’apportent rien au sujet ( ce n’est ni du social ni du reportage )et nuisent au graphisme puisqu’elles deviennent omniprésentes par leur tache claire.
J’aurai carrément cadré en pano horizontal pour au moins tronquer ou pourquoi pas supprimer le tas d’ordure et laisser l’oeil naviquer du camion et du bonhomme vers le le pictogramme
@ pingupingu = Au-delà du clin d’œil à une affaire de mise à la corbeille ciblée de commentaires de la part d’un éminent contributeur, ceci au mépris du principe de la liberté d’expression et de la vocation de ce blog, je pense que ce premier plan apporte sa note à cet instantané d’une ZAC brésilienne.
Pour moi il signifie une autre forme de mouvement, plus chaotique, ainsi qu’une opposition à la structure ordonnée du labeur et de sa représentation par pictogramme.
Et puis le Brésil est comme ça, et c’est ainsi qu’il faut le prendre !
🙂
Merci de votre avis.