Merci pour vos commentaires fort sympathiques, ça fait toujours plaisir! Magie, bonheur, lumière, mystère, oui, bien sûr. Ce jour-là une brume de mer s’était attardée sur le rivage et le soleil déjà haut (fin de matinée) inondait le sous-bois d’une lumière un peu irréelle (le post-traitement est minimal). La première photo de la série (Le chemin de l’estuaire) a été faite non loin de là, le même jour. Au retour, alors que j’examinais ma “cueillette” sur écran, j’ai appris la nouvelle du carnage. Nous étions le 7 janvier 2015! Depuis ces images et cet événement dramatique sont liés dans mon esprit. De quoi renvoyer les elfes se réfugier dans leur tanières…
Monsieur HR
sur 21 mars 2015 à 9h59
La proximité de la mer est insoupçonnée dans ce paysage.
Patrick Hirtz
sur 21 mars 2015 à 17h03
Je partage l’enthousiasme de Philippe Schalk pour celle-ci et les précédenteS …
Qu’il est difficile de rendre ces chemins “creux” cernés de végétation abondante ! A mes yeux, le choix de la douceur enlève de la densité à l’image (pas assez de noir). Mais les branches hautes du chêne sont très belles et je trouve intéressant le tunnel que ça forme avec l’arbuste de droite. La partie gauche en revanche me gêne un peu, comme si elle était le début d’une autre photo (diptyque naturel) que l’on ne voit pas complètement.
super chouette celle ci aussi…;-)
joli sous bois, le traitement ajoute au mystère … où sont les elfes ?
Très belle série.
Une très très belle série où le végétal est superbement mis en valeur.
J’aime beaucoup.
J’adore!
Toujours un chemin à travers la végétation, vers la lumière. Bravo. En attendant la prochaine.
Ça à l’air de serpenter mais cela va tout droit vers le bonheur !
🙂
Magique!
Merci pour vos commentaires fort sympathiques, ça fait toujours plaisir! Magie, bonheur, lumière, mystère, oui, bien sûr. Ce jour-là une brume de mer s’était attardée sur le rivage et le soleil déjà haut (fin de matinée) inondait le sous-bois d’une lumière un peu irréelle (le post-traitement est minimal). La première photo de la série (Le chemin de l’estuaire) a été faite non loin de là, le même jour. Au retour, alors que j’examinais ma “cueillette” sur écran, j’ai appris la nouvelle du carnage. Nous étions le 7 janvier 2015! Depuis ces images et cet événement dramatique sont liés dans mon esprit. De quoi renvoyer les elfes se réfugier dans leur tanières…
La proximité de la mer est insoupçonnée dans ce paysage.
Je partage l’enthousiasme de Philippe Schalk pour celle-ci et les précédenteS …
L’amateur de forêts et de verdure (que je suis) applaudit à cette très douce image : bravo !
Qu’il est difficile de rendre ces chemins “creux” cernés de végétation abondante ! A mes yeux, le choix de la douceur enlève de la densité à l’image (pas assez de noir). Mais les branches hautes du chêne sont très belles et je trouve intéressant le tunnel que ça forme avec l’arbuste de droite. La partie gauche en revanche me gêne un peu, comme si elle était le début d’une autre photo (diptyque naturel) que l’on ne voit pas complètement.