Il faut absolument les présenter l’un à l’autre !
🙂
François Cardi
sur 4 juin 2014 à 11h11
@ amb Bien vu, et quelle mémoire! Et il y en a une troisième pour faire un trio plutôt qu’une paire.
brigitte david
sur 4 juin 2014 à 14h23
On ne manque pas d’humour sur LVEG!Apparemment François Cardi a une vocation de martyre de la photographie!
🙂
Mais au fait… de quoi parle cette photo? A part le fait d’être piégé comme un … pigeon dans un Château de la Loire…
François Cardi
sur 4 juin 2014 à 15h59
Elle “parle” d’un château du Périgord. Pas de chance!
Un beau portrait dans un lieu bien mystérieux…
J’aurais aimé un point plus net sur le visage.
@+
François Cardi
sur 5 juin 2014 à 10h34
@ Kora. Au moment du déclenchement, dans ce genre de photo, on ressent une sorte de tremblement, de la peur oui, qui trouble la mise au point et fabrique souvent du flou. C’est un peu une concession à la technique et à sa maîtrise. Mais s’il fallait tout maîtriser, la photographie ne serait certainement pas cette chose unique qui fait place à l’émotion de la seconde ou plutôt à son 60ème!
JMLG
sur 5 juin 2014 à 12h36
Bonjour,
Le Périgord Noir, comme le regard…
😉
A bientôt.
Monsieur HR
sur 7 juin 2014 à 21h42
2 regards certes, mais dans des contextes différents. Ici, il semble que l’on soit dans l’intime, au Musée, on était plutôt dans le social. Que nous réserve la 3ème version ?
Il faut absolument les présenter l’un à l’autre !
🙂
@ amb Bien vu, et quelle mémoire! Et il y en a une troisième pour faire un trio plutôt qu’une paire.
On ne manque pas d’humour sur LVEG!Apparemment François Cardi a une vocation de martyre de la photographie!
🙂
Mais au fait… de quoi parle cette photo? A part le fait d’être piégé comme un … pigeon dans un Château de la Loire…
Elle “parle” d’un château du Périgord. Pas de chance!
Un beau portrait dans un lieu bien mystérieux…
J’aurais aimé un point plus net sur le visage.
@+
@ Kora. Au moment du déclenchement, dans ce genre de photo, on ressent une sorte de tremblement, de la peur oui, qui trouble la mise au point et fabrique souvent du flou. C’est un peu une concession à la technique et à sa maîtrise. Mais s’il fallait tout maîtriser, la photographie ne serait certainement pas cette chose unique qui fait place à l’émotion de la seconde ou plutôt à son 60ème!
Bonjour,
Le Périgord Noir, comme le regard…
😉
A bientôt.
2 regards certes, mais dans des contextes différents. Ici, il semble que l’on soit dans l’intime, au Musée, on était plutôt dans le social. Que nous réserve la 3ème version ?