Né en 1949, habite Tours (37), retraité et syndicaliste
Je dirais bien que j'aime mettre mon "grain de sel" mais cette expression est déjà utilisée (à bon escient) par un autre photographe sur le blog .
Je pratique la photo en pointillé, de manière un peu erratique, sans véritable style personnel nettement défini, avec un petit goût pour le flou, souvent mal maîtrisé d'ailleurs
J'éprouve un vrai plaisir à dialoguer sur le blog et je pense que ma pratique, notamment celle du post traitement informatique de la photo s'est améliorée grâce à ces échanges
9 Commentaires
Monsieur HR
sur 18 janvier 2014 à 11h11
Une autre cascade (à suivre…).
Henri
sur 18 janvier 2014 à 12h09
Dans la toute première nuit andalouse (https://www.lavieengris.com/?p=46367) on sentait toute la violence de cette belle danse, les 2 dernières sont plus sages , même si j’aime bien le cadrage de celle-ci.
merci pour le clin d’œil à la cascade 😉
Monsieur HR
sur 18 janvier 2014 à 12h23
Dans cette série, j’ai prévu que le mouvement, donc une certaine violence que je ressens également dans le Flamenco, apparaisse progressivement. Je voudrais que ce soit un peu comme un feu d’artifice (pas sûr que j’y parvienne).
Le clin d’oeil à la cascade s’est imposé pour moi dès l’instant où j’ai découvert cette photo tant les analogies me semblaient nombreuse. J’espère qu’Henri poursuivra son travail dans cette thématique.
Je n’oublie pas non plus que la première nuit avait évolué à travers un dialogue assez serré sur le site.
Loïs
sur 18 janvier 2014 à 12h55
Cette fois, ne faisant pas appel à ma mémoire, je me suis contenté de cliquer sur le mot-clef flamenco.
Le haut de la silhouette n’est pas harmonieux.
Je ne sens pas l’esprit de cette danse comme par exemple sur Canea flamenca .
Parler de cascade, c’est attirer vers le bas la pesanteur. Alors que le flamenco évoque plutôt des attitudes tenues.
Désolé.
Monsieur HR
sur 18 janvier 2014 à 18h39
L’esprit du Flamenco , n’est peut être pas univoque, et je crois qu’il est aussi dans les hanches, dans les jambes, dans les pieds et dans la robe.
Pour ce qui est de la cascade, c’était juste un clin d’oeil à Henri dont la photo offrait quelques analogies avec celle ci, rien de plus.
A la semaine prochaine ?
Loïs
sur 19 janvier 2014 à 9h22
A ma grande confusion, je n’avais pas bien reconnu cette silhouette. Du fait que les pieds sont peu visibles, j’avais placé les volants à la taille et non pas à mi-cuisse et fait pivoter l’ensemble de 180°.
La danseuse, les bras levés, en devenait fort ventrue.
Le placement du dégradé tons sombres vers tons moyens puis vers tons clairs n’est pas dans le sens de lecture de la photo(gauche > droit)ce qui à mon avis ne dynamise pas le mouvement…mais peut-être l’auteur l’a t’il voulu ainsi?
Monsieur HR
sur 19 janvier 2014 à 11h19
Les observations de Loïs et JB montrent bien les défauts de lisibilité de cette photo. Défauts qui m’avaient échappé. C’est un peu un risque inhérent au choix de ne cadrer que le bas du corps .
Merci à eux.
Une autre cascade (à suivre…).
Dans la toute première nuit andalouse (https://www.lavieengris.com/?p=46367) on sentait toute la violence de cette belle danse, les 2 dernières sont plus sages , même si j’aime bien le cadrage de celle-ci.
merci pour le clin d’œil à la cascade 😉
Dans cette série, j’ai prévu que le mouvement, donc une certaine violence que je ressens également dans le Flamenco, apparaisse progressivement. Je voudrais que ce soit un peu comme un feu d’artifice (pas sûr que j’y parvienne).
Le clin d’oeil à la cascade s’est imposé pour moi dès l’instant où j’ai découvert cette photo tant les analogies me semblaient nombreuse. J’espère qu’Henri poursuivra son travail dans cette thématique.
Je n’oublie pas non plus que la première nuit avait évolué à travers un dialogue assez serré sur le site.
Cette fois, ne faisant pas appel à ma mémoire, je me suis contenté de cliquer sur le mot-clef flamenco.
Le haut de la silhouette n’est pas harmonieux.
Je ne sens pas l’esprit de cette danse comme par exemple sur Canea flamenca .
Parler de cascade, c’est attirer vers le bas la pesanteur. Alors que le flamenco évoque plutôt des attitudes tenues.
Désolé.
L’esprit du Flamenco , n’est peut être pas univoque, et je crois qu’il est aussi dans les hanches, dans les jambes, dans les pieds et dans la robe.
Pour ce qui est de la cascade, c’était juste un clin d’oeil à Henri dont la photo offrait quelques analogies avec celle ci, rien de plus.
A la semaine prochaine ?
A ma grande confusion, je n’avais pas bien reconnu cette silhouette. Du fait que les pieds sont peu visibles, j’avais placé les volants à la taille et non pas à mi-cuisse et fait pivoter l’ensemble de 180°.
La danseuse, les bras levés, en devenait fort ventrue.
Le placement du dégradé tons sombres vers tons moyens puis vers tons clairs n’est pas dans le sens de lecture de la photo(gauche > droit)ce qui à mon avis ne dynamise pas le mouvement…mais peut-être l’auteur l’a t’il voulu ainsi?
Les observations de Loïs et JB montrent bien les défauts de lisibilité de cette photo. Défauts qui m’avaient échappé. C’est un peu un risque inhérent au choix de ne cadrer que le bas du corps .
Merci à eux.
Peut-être qu’avec un peu d’eau jaillissant à ses pieds, comme Henri en a le secret…
😉