Evelyne sur 10 mai 2013 à 14h05 scène insolite que l’on ne verra jamais en France … finalement besoin de pas grand chose un fauteuil et des ciseaux … en fait l’essentiel ….
alain-michel boley sur 10 mai 2013 à 15h05 @Evelyne = En attendant, vous pouvez voir rue de Belleville le + petit salon de coiffure de france. Pour ce qui est de la photographie, le gérant indien n’est pas aussi aimable que ses homologues restés au pays ! 😉
Monsieur HR sur 10 mai 2013 à 15h12 J’ai pu saisir une scène voisine dans un village Marocain, avec le même sourire sur les lèvres des protagonistes, mais la photo, plu serrée, était également bien moins bonne que celle-ci.
Evelyne ( la maman) sur 10 mai 2013 à 15h38 ha ! Ben avec ses photos en noir et blanc !! et oui l’Inde ce n’est pas qu’une féerie de couleurs et pigments ….
Irène de Groot sur 10 mai 2013 à 15h57 J’aime bien cette scène de rue. Quels enchevêtrements! En particulier les poteaux et fils électriques inextricables! 😉
flore sur 10 mai 2013 à 20h46 Moi aussi j’aime bien la vie de ce désordre quotidien qui n’est pas pour autant brouillon, F
brigitte david sur 11 mai 2013 à 8h33 J’aime bien le contraste entre le regard vaguement inquiét du client et le côté jovial du coiffeur qui là comme ailleurs fait ce qu’il veut…Le pouvoir au bout des ciseaux!
Benjamin Cuevas sur 11 mai 2013 à 11h30 J’appelle cela l’esthétique du chaos. J’ai pris cette scène à Old Delhi. J’aime parcourir ce vieux quartier à pieds ou en tuk-tuk. Il y a toujours un trafic monstrueux, entre les motos, les rickshaws, les vaches, les porteurs en tout genre, etc… Cette rue mène vers la grande mosquée, la Jama Majid. On y trouve de tout, une grande agitation en particulier. Quant à l’enchevêtrement de fils électriques, c’est une pratique (un art) très largement répandue dans les villes indiennes. Les salons de coiffures, les barbiers, ne sont pas tous dans la rue. La plupart ont leurs boutiques. Mais il n’est pas rare de rencontrer des gens se faire coiffer ou raser sur le bord d’une route. Une chaise, une paire de ciseaux et un miroir, l’essentiel pour un service complet, rapide, et bon marché. Avec un peu de talent ou de pratique, il devient facile de trouver sa place en Inde. On juge sur la prestation comme ça tout le monde à sa chance. Les petits boulots font les grandes nations … Merci pour vos commentaires. Merci maman, c’est un sentiment agréable de sentir la sensibilité et l’attention d’une mère, même à l’autre bout du monde 🙂
JMP sur 12 mai 2013 à 10h03 Cette photo pittoresque n’est hélas pas lisible. Le sujet principal , le coiffeur, est étouffé par les véhicules en mouvement. au second plan. Finalement , c’est le b.! On pourra toujours dire que c’est l’effet recherché, pour moi sur le plan photographique, ça ne marche pas.
hervé sur 12 mai 2013 à 13h00 Pour moi aussi trop de sujets à la fois et mon regard se perd sans s’attacher.
scène insolite que l’on ne verra jamais en France … finalement besoin de pas grand chose un fauteuil et des ciseaux … en fait l’essentiel ….
@Evelyne = En attendant, vous pouvez voir rue de Belleville le + petit salon de coiffure de france.
Pour ce qui est de la photographie, le gérant indien n’est pas aussi aimable que ses homologues restés au pays !
😉
J’ai pu saisir une scène voisine dans un village Marocain, avec le même sourire sur les lèvres des protagonistes, mais la photo, plu serrée, était également bien moins bonne que celle-ci.
ha ! Ben avec ses photos en noir et blanc !! et oui l’Inde ce n’est pas qu’une féerie de couleurs et pigments ….
J’aime bien cette scène de rue. Quels enchevêtrements! En particulier les poteaux et fils électriques inextricables! 😉
Moi aussi j’aime bien la vie de ce désordre quotidien qui n’est pas pour autant brouillon, F
Belle scène, bien captée, dans son contexte
J’aime bien le contraste entre le regard vaguement inquiét du client et le côté jovial du coiffeur qui là comme ailleurs fait ce qu’il veut…Le pouvoir au bout des ciseaux!
J’appelle cela l’esthétique du chaos. J’ai pris cette scène à Old Delhi. J’aime parcourir ce vieux quartier à pieds ou en tuk-tuk. Il y a toujours un trafic monstrueux, entre les motos, les rickshaws, les vaches, les porteurs en tout genre, etc… Cette rue mène vers la grande mosquée, la Jama Majid. On y trouve de tout, une grande agitation en particulier. Quant à l’enchevêtrement de fils électriques, c’est une pratique (un art) très largement répandue dans les villes indiennes.
Les salons de coiffures, les barbiers, ne sont pas tous dans la rue. La plupart ont leurs boutiques. Mais il n’est pas rare de rencontrer des gens se faire coiffer ou raser sur le bord d’une route. Une chaise, une paire de ciseaux et un miroir, l’essentiel pour un service complet, rapide, et bon marché. Avec un peu de talent ou de pratique, il devient facile de trouver sa place en Inde. On juge sur la prestation comme ça tout le monde à sa chance. Les petits boulots font les grandes nations …
Merci pour vos commentaires.
Merci maman, c’est un sentiment agréable de sentir la sensibilité et l’attention d’une mère, même à l’autre bout du monde 🙂
On y est presque! Belle scène!
Cette photo pittoresque n’est hélas pas lisible. Le sujet principal , le coiffeur, est étouffé par les véhicules en mouvement. au second plan. Finalement , c’est le b.! On pourra toujours dire que c’est l’effet recherché, pour moi sur le plan photographique, ça ne marche pas.
Pour moi aussi trop de sujets à la fois et mon regard se perd sans s’attacher.