17 Commentaires
  1. Monochrome blanc, minimaliste mais interessant, je dirai même hypnotisant !

  2. Josée après son déménagement. Oui c’est beau comme un jour sans fin, F

  3. En effet, minimaliste et réussie!

  4. Mon pays ce n’est pas un pays, c’est l’hiver… 😉

  5. Rien de superflu ! Un peu trop minimaliste pour moi : je suis allé me consoler “vers la blanche cérémonie” !

  6. Minimaliste à souhait autour d’une palette de blanc/gris.
    La ligne d’horizon est placé judicieuse au premier tiers.
    Bravo.
    @+

  7. Une très belle photo dans la veine des autres photos publiées ici.beaucoup de sensibilité, un sens accru des ambiances pures. je ne suis pas sûre mais j’aurais peut-être plutôt cadré 2/3 sur la mer. si c’est bien la mer? ça pourrait aussi être de la glace, du sable. cette incertitude sur la matière, j’adore.

  8. Idem Irène… Gilles Vigneault… On s’interroge sur la destination. Il faut vraiment y aller?

  9. Je penche pour de la neige, voire de la glace.
    Et si, au moment de la fonte, on trouvait une toile de Rothko ?
    😉

  10. Neige du couchant –

    comme une lettre

    qu’on relit sans fin

    Iida Ryûta

  11. Il fallait oser. C’est beau comme un haiku* !
    * cherchez, et vous trouverez

  12. Sans titre, sans sujet ?

  13. Nous ne sommes pas loin du suprématisme de Malevich

  14. Merci beaucoup à tous pour vos commentaires!
    @Flore: Encore en plein déménagement, une randonnée pour faire le plein de vide; une parenthèse de calme et de paix entre deux cartons 😉
    @Irène et brigitte: Dur d’y échapper; on appartient toujours au pays qui nous habite…
    @alain-michel: wow, quelle belle image; vivement le printemps!
    @Henri: Merci pour le haiku!
    @ardechelibre: Un titre aurait orienté la lecture de l’image et je ne souhaitais aucune connotation. Quant au sujet, quelle belle question. Quelles seraient les conditions préalables pour qu’un élément puisé à même le réel constitue ou non un sujet? Ou encore, un sujet doit-il nécessairement être conforme à l’idée qu’on s’en fait? Intéressant.

  15. “Dans la blanche cérémonie” n’était pas totalement certaine de son discours. Elle ouvrait des petites boites dans la grande. Il y avait des lignes de fuite. De quoi rebondir un peu partout. Cela cognait dans tous les coins. Cela arrivait de l’extérieur. Cela repartait vers dehors. C’était un chaos plein d’harmonie, très musical. C’était une suite de silences expressifs. Pleins de vie.
    Ici le sentiment du contraire. Une affirmation. De l’ordre. Un discours imposé. Il y a paradoxe à dire cela compte tenu de la minceur de l’anecdote mais c’est un cliché qui veut trop signifier. Il s’impose avec trop d’évidence et du coup perd toute force. Et toute légitimité. S’il avait été publié en regard du chef-d’Å“uvre, il lui aurait fait perdre toute crédibilité. Je trouve. Désolé Josée.

  16. Perdre toute crédibilité est peut-être un peu fort ! Les trois vues de neige sont pour l’instant visibles alignées en tête de la galerie (cliquer sur le nom de l’auteur) et, pour réduites qu’elles soient sur ce mode, on distingue effectivement un très large empan d’intentions entre Cérémonie et cette dernière…
    Peut-être le blizzard et l’exercice de la marche à la raquette se jouent des intentions intellectuelles…
    😉

  17. Oui, je reconnais que c’est un peu fort !
    je préfère en tout cas en rester à la très forte impression laissée par Cérémonie.

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