Marc-Olivier FILHOL sur 1 février 2013 à 21h23 Le nb est bien réalisé mais la compo n’est pas satisfaisante. Le banc est trop centré, je l’aurais bien vu en bas à droite.
Grains de sel sur 2 février 2013 à 8h56 Quelque chose nous exclu de cette photographie, je crois que cela provient de la position du banc.
François Cardi sur 2 février 2013 à 16h48 De la position du banc, oui, par rapport à l’arbre, qui bouche complètement le peu d’horizon qu’on pourrait mentalement construire.
Pierre Grave sur 3 février 2013 à 15h18 Merci pour vos critiques toujours intéressantes. Permettez moi cependant de défendre ma photo. Pour ce qui est de la position du banc, elle est volontaire. En effet, mon but est de confronter la taille modeste de ce dernier à celle imposante des arbres qui lui font face, un peu comme si il s’agissait de deux personnages respectivement nain et géants.Le fait que les arbres soient “décharnés” augmente leur côté sinistre alors que la rondeur du banc, même vide évoque douceur et faiblesse. J’aime par ailleurs le fait que la présence humaine dans cette scène hivernale ne soit évoquée que par les lointains immeubles en arrière plan. Quand à l’équilibre de la composition, j’ai bien entendu vos critiques mais je continue à aimer celle-ci. Merci encore et à la prochaine…
Le nb est bien réalisé mais la compo n’est pas satisfaisante. Le banc est trop centré, je l’aurais bien vu en bas à droite.
Quelque chose nous exclu de cette photographie, je crois que cela provient de la position du banc.
De la position du banc, oui, par rapport à l’arbre, qui bouche complètement le peu d’horizon qu’on pourrait mentalement construire.
Douce France, sous la neige
Merci pour vos critiques toujours intéressantes.
Permettez moi cependant de défendre ma photo.
Pour ce qui est de la position du banc, elle est volontaire. En effet, mon but est de confronter la taille modeste de ce dernier à celle imposante des arbres qui lui font face, un peu comme si il s’agissait de deux personnages respectivement nain et géants.Le fait que les arbres soient “décharnés” augmente leur côté sinistre alors que la rondeur du banc, même vide évoque douceur et faiblesse.
J’aime par ailleurs le fait que la présence humaine dans cette scène hivernale ne soit évoquée que par les lointains immeubles en arrière plan.
Quand à l’équilibre de la composition, j’ai bien entendu vos critiques mais je continue à aimer celle-ci.
Merci encore et à la prochaine…