New York en avril, avec un rayon de soleil ce sont plutôt des éclats de couleurs, la rue qui vibre, une foule jeune, légèrement vêtue. Un vertige permanent. Du velours à Velvia.
Et puis au détour d’une avenue, une scène d’un calme étrange, que l’on imagine plutôt en noir & blanc. Un instant suspendu.

(1/5/08 : cadre noir supprimé)




remi o.

Focus sur les foules, les gens, le mouvement et les histoires courtes ou éternelles. je ne me cache jamais. Je me fais rarement remarquer. On ne bouge plus.
8 Commentaires
  1. très bien vu! une belle scène de vie ou de ville…comme tu le dis,un moment suspendu!
    Un beau cadrage, une belle lumière…
    J’aime ce genre d’images…

  2. Les lumières américaines paraissent différentes… je n’ai jamais tranché si c’était une illusion ou une réalité.

    (dommage que le cadre noir plombe l’image)

  3. @ Philippe :New york 45° Nord comme bordeaux, la lumière devrait être la même ! La cité semble si déserte sur cette image.

  4. Bravo Remi ! Bien vu et capté.
    Par contre, comme Philippe, le cadre noir … bof bof !

  5. Merci Marie.
    Pour la lumière, oui, je trouve que New York a souvent une lumière différente, mais plutôt ‘uptown’, là où les buildings reflètent le soleil vers le bitume.
    Ici c’est juste un soleil d’avril qui semble un peu écrasant pour le frêle sujet.
    Et puis les lumières de la pharmacie/drugstore allumées en plein jour ajoutent une touche surnaturelle à défaut d’être écologique…

  6. Merci Yvap
    Bon, pour toi et Philippe, cadre noir supprimé 🙂

  7. beaucoup de douleurs physiques dans ce dos vouté, petite silhouette frêle, dans cette lumiere dure, et qui suit la ligne blanche vers .. une pharmacie.. faut-il regretter l’amputation de son ombre ?

  8. Merci pour cette lecture de l’image que je partage.
    Je me justifie a posteriori en me disant que l’ombre aurait fait concurrence à son propriétaire.

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