Brigitte David sur 6 juillet 2012 à 8h03 Tu arrives à une évaluation? Pour revenir à la photo, tu as su capter la matière de l’usure, de l’effritement, du délitement, de l’érosion du bois. Une interrogation sur la part du passé et du présent en ce lieu.
Bernard Lv sur 6 juillet 2012 à 9h26 Idem Brigitte sur le rendu. La tache de lumière est justement un peu trop tache, trop lampe de poche pour moi …. alors que la lumière d’une bougie ou d’un chandelier aurait été tout indiquée 😉 (oui je sais j’exagère)
Brigitte David sur 6 juillet 2012 à 9h54 Bernard… Ce n’est pas une lampe de poche, c’est une lucarne à toile d’araignée…
bernard Lv sur 6 juillet 2012 à 11h02 oh alors désolé ! et alors la toile d’araignée on va la voir ? 😉
Estienne sur 6 juillet 2012 Ã 15h15 Et les souterrains, il y a des souterrains ? Avec chauve-souris si possible …
flore sur 6 juillet 2012 à 16h45 Oui, dans cette maison de famille, on trouve des araignées dans les chambres, des mulots dans les placards, des crucifix au dessus des lits et des chauves souris dans les caves voûtée Merci à vous et à bientôt, F
Irène de Groot sur 6 juillet 2012 à 20h28 Nous y voilà Flore, tu as fait ci-dessus une description très imagée de cette demeure qui semble receler des trésors… Et qu’est-ce que tu nous montres, de vieilles marches certes, mais qui à mon sens n’évoquent rien…
hervé sur 6 juillet 2012 à 20h48 De beaux grains sur ces marches, mais j’aime moins le bruit dans l’ombre. La maison n’est pas hantée ? 😉
Brigitte David sur 6 juillet 2012 à 22h23 Irene, on se doute que la maison ne se résume pas à ces marches. Mais ces marches délaissées par les soins de restauration témoignent sans doute plus que tout le reste du passage du temps. Les signes de vie, la modestie de ces signes de vie ou de mort finalement, parlent souvent plus fort que des visions plus… panoramiques ou démonstratives. Tu en sais quelque chose!
flore sur 10 juillet 2012 à 7h01 L’escalier à vis date du XV e siècle. Tout en haut, des marches en bois succèdent aux marches en pierre. Un incendie pouvait ainsi arrêter l’avancée des assaillants racontent les habitants de la maison de famille amateurs d’histoires simples… Des considérations techniques expliqueraient plus vraisemblablement le changement de matériaux pour soutenir la charpente. Merci pour vos avis utiles pour la suite. F
pascal sur 20 juillet 2012 à 15h48 je suis très ému, je retrouve là de belles évocations d’enfance qui renforcent encore la très ancienne complicité/amitié qui me lient à Flore
… Le fantôme passe à quelle heure?
Brigitte, si seulement n’y en avait qu’un!
Tu arrives à une évaluation? Pour revenir à la photo, tu as su capter la matière de l’usure, de l’effritement, du délitement, de l’érosion du bois.
Une interrogation sur la part du passé et du présent en ce lieu.
Idem Brigitte sur le rendu.
La tache de lumière est justement un peu trop tache, trop lampe de poche pour moi …. alors que la lumière d’une bougie ou d’un chandelier aurait été tout indiquée 😉 (oui je sais j’exagère)
Enfin Bernard, comparer les rayons du soleil à une lampe de poche… F
Bernard… Ce n’est pas une lampe de poche, c’est une lucarne à toile d’araignée…
oh alors désolé !
et alors la toile d’araignée on va la voir ? 😉
Ma préférée de la série (à ce jour)!
Et les souterrains, il y a des souterrains ? Avec chauve-souris si possible …
Oui, dans cette maison de famille, on trouve des araignées dans les chambres, des mulots dans les placards, des crucifix au dessus des lits et des chauves souris dans les caves voûtée
Merci à vous et à bientôt, F
Nous y voilà Flore, tu as fait ci-dessus une description très imagée de cette demeure qui semble receler des trésors… Et qu’est-ce que tu nous montres, de vieilles marches certes, mais qui à mon sens n’évoquent rien…
De beaux grains sur ces marches, mais j’aime moins le bruit dans l’ombre.
La maison n’est pas hantée ? 😉
Irene, on se doute que la maison ne se résume pas à ces marches. Mais ces marches délaissées par les soins de restauration témoignent sans doute plus que tout le reste du passage du temps.
Les signes de vie, la modestie de ces signes de vie ou de mort finalement, parlent souvent plus fort que des visions plus… panoramiques ou démonstratives. Tu en sais quelque chose!
L’escalier à vis date du XV e siècle.
Tout en haut, des marches en bois succèdent aux marches en pierre. Un incendie pouvait ainsi arrêter l’avancée des assaillants racontent les habitants de la maison de famille amateurs d’histoires simples… Des considérations techniques expliqueraient plus vraisemblablement le changement de matériaux pour soutenir la charpente.
Merci pour vos avis utiles pour la suite. F
Belle mise en valeur de la structure et de la lumière
je suis très ému, je retrouve là de belles évocations d’enfance qui renforcent encore la très ancienne complicité/amitié qui me lient à Flore