Bernard Lv sur 8 juin 2012 à 16h37 Je ne sais pas en quoi il est sauveur, mais il a une belle gueule et ce portrait me plaît. Juste un peu cramé entre le nez et la paumette. Un petit souci de marge blanche dans le bas à droite 😉
François Cardi sur 8 juin 2012 à 17h27 Sauveur, c’est son prénom, courant en Corse…Il avait fait la campagne d’Ethiopie, comme soldat, au début du 20ème siècle, et s’était retiré dans son village. Il y a bien des histoires à raconter sur ce Sauveur A., mais on serait trop loin du portrait. Merci en tout cas pour votre commentaire, bien reçu.
Estienne sur 8 juin 2012 à 20h04 Il me semble que c’est une nouvelle version de notre “Sauveur” … celle-ci nous présente un visage un peu plus “débouché” que la première et le résultat est bien meilleur et même excellent !
brigitte David sur 9 juin 2012 à 21h23 IL a un côté guerre de 14 ou travailleur immigré ayant travaillé dans les mines du Forez. Un visage comme une cartographie. Belle allure.
rvmarec sur 9 juin 2012 à 23h05 J’aime beaucoup ce portrait. Sauveur m’a également fait penser à un poilu
Je ne sais pas en quoi il est sauveur, mais il a une belle gueule et ce portrait me plaît.
Juste un peu cramé entre le nez et la paumette.
Un petit souci de marge blanche dans le bas à droite 😉
Sauveur, c’est son prénom, courant en Corse…Il avait fait la campagne d’Ethiopie, comme soldat, au début du 20ème siècle, et s’était retiré dans son village. Il y a bien des histoires à raconter sur ce Sauveur A., mais on serait trop loin du portrait. Merci en tout cas pour votre commentaire, bien reçu.
Il me semble que c’est une nouvelle version de notre “Sauveur” … celle-ci nous présente un visage un peu plus “débouché” que la première et le résultat est bien meilleur et même excellent !
“Notre Sauveur” débouché ? J’avoue ne pas comprendre…
T’as de belles rides Sauveur, F
IL a un côté guerre de 14 ou travailleur immigré ayant travaillé dans les mines du Forez. Un visage comme une cartographie. Belle allure.
J’aime beaucoup ce portrait. Sauveur m’a également fait penser à un poilu