Bernard Lvq sur 9 février 2012 à 17h16 Comment çà So-long fait une expo et il ne nous prévient pas !? …. …. ou comment l’on retrouve une photo encore au sol
Bernard Lvq sur 9 février 2012 à 17h25 Je comprends mieux ce format allongé maintenant, en en voyant plusieurs côte-à -côte. Cela, doublé avec la mise en scène sur bandeau unique noir, donne un espace plus “pointu” tout en étant large, composant une histoire continue, l’histoire de la maladie, de l’isolement, de la faiblesse et dépendance …. alors qu’un cadrage “normal – 24×36” aurait peut-être donné une fenêtre plus fermée et esthétique …. (je ne sais pas si tu me comprends Solong) Cette mise en scène me rappelle également celle que j’avais vu au dernier salon de la photo…. une série de photos accrochées directement sur un mur noir, sans cadres. Et sur ce mur étaient également inscrites à la craie blanche diverses informations ou slogans. Il faudrait que je la retrouve de suite celle-là .
Solong sur 12 février 2012 à 19h04 Wahou! Merci Yvap! Joli coup d’oeil une fois encore sur cette chorégraphie! Pile au moment où la jambe se cale au bras de l’assistante et où le dos s’arrondit comme en écho à celui de l’aide soignante de la photo de droite. Sous le poids du doute un peu sans doute à cet instant. C’est qu’il y en a du chemin du déclencheur à la perceuse… Ravi qu’il ait pu me conduire à cette rencontre… 🙂
Mais c’est une mise en abîme !
😉
Comment çà So-long fait une expo et il ne nous prévient pas !? ….
…. ou comment l’on retrouve une photo encore au sol
Je comprends mieux ce format allongé maintenant, en en voyant plusieurs côte-à -côte. Cela, doublé avec la mise en scène sur bandeau unique noir, donne un espace plus “pointu” tout en étant large, composant une histoire continue, l’histoire de la maladie, de l’isolement, de la faiblesse et dépendance …. alors qu’un cadrage “normal – 24×36” aurait peut-être donné une fenêtre plus fermée et esthétique …. (je ne sais pas si tu me comprends Solong)
Cette mise en scène me rappelle également celle que j’avais vu au dernier salon de la photo…. une série de photos accrochées directement sur un mur noir, sans cadres. Et sur ce mur étaient également inscrites à la craie blanche diverses informations ou slogans.
Il faudrait que je la retrouve de suite celle-là .
Wahou!
Merci Yvap!
Joli coup d’oeil une fois encore sur cette chorégraphie! Pile au moment où la jambe se cale au bras de l’assistante et où le dos s’arrondit comme en écho à celui de l’aide soignante de la photo de droite. Sous le poids du doute un peu sans doute à cet instant.
C’est qu’il y en a du chemin du déclencheur à la perceuse…
Ravi qu’il ait pu me conduire à cette rencontre… 🙂