Brigitte David sur 13 juillet 2011 à 1h31 Magnifique cette perdition, cet effacement du paysage dans cette atmosphère brumeuse et cette présence insolite.
xavier.b sur 13 juillet 2011 à 12h06 belle composition minimaliste où le ciel et le sable ne font qu’un,avec cette présence humaine presque fantomatique.Vraiment superbe!!! bravo
Hervé sur 13 juillet 2011 à 18h31 Quand la terre et le ciel se confondent et l’homme, pour le dire dans une simple clarté, Merci Benjamin pour vos choix.
blagapart sur 14 juillet 2011 à 18h58 J’aime le blanc qui envahit le cadre sans distinction de matiere. Par contre, le personnage n’a pas d’intérêt, dommage.
Jean-Marc Silvestre sur 15 juillet 2011 à 13h20 Très beau, nous sommes dans l’infini et l’éternité et “L’éternité, c’est long surtout vers la fin” Woody Allen…
Benjamin Cuevas sur 17 juillet 2011 à 20h42 Je réponds tardivement et je m’en excuse. Merci pour vos commentaires. A mon sens la présence humaine était nécessaire car elle place la nature à sa réelle échelle. Le désert est immense, les hommes sont peu de choses face à un tel espace, leur présence toutefois est une trace de leurs forces. Sans l’enfant, je n’aurais probablement pas pris la photo. Je suis ravi de toutes les sensations que cette image a suscité en vous.
Josée sur 25 juillet 2011 à 17h04 Superbe finesse des détails dans cette composition où se marient le ciel et le sable. Poésie et sobriété qui rappellent immanquablement les dunes de Shôji Ueda. Très réussi! Bravo!
Magnifique cette perdition, cet effacement du paysage dans cette atmosphère brumeuse et cette présence insolite.
belle composition minimaliste où le ciel et le sable ne font qu’un,avec cette présence humaine presque fantomatique.Vraiment superbe!!! bravo
Magique 😉
Parfois le lointain rapproche.
🙂
Quand la terre et le ciel se confondent et l’homme, pour le dire dans une simple clarté, Merci Benjamin pour vos choix.
Epurée, juste ce qu’il faut, j’aime beaucoup…
J’aime le blanc qui envahit le cadre sans distinction de matiere. Par contre, le personnage n’a pas d’intérêt, dommage.
Très beau, nous sommes dans l’infini et l’éternité et “L’éternité, c’est long surtout vers la fin” Woody Allen…
Je réponds tardivement et je m’en excuse. Merci pour vos commentaires. A mon sens la présence humaine était nécessaire car elle place la nature à sa réelle échelle. Le désert est immense, les hommes sont peu de choses face à un tel espace, leur présence toutefois est une trace de leurs forces. Sans l’enfant, je n’aurais probablement pas pris la photo. Je suis ravi de toutes les sensations que cette image a suscité en vous.
Superbe finesse des détails dans cette composition où se marient le ciel et le sable. Poésie et sobriété qui rappellent immanquablement les dunes de Shôji Ueda. Très réussi! Bravo!