Qui se soucie de regarder
La fleur de la carotte sauvage
Au temps des cerisiers?
(Sodô)




14 Commentaires
  1. Moi je sais! les lapins!

  2. Ce n’est pas une fleur de carotte sauvage!

    Je trouve le cadrage trop serré et le sépia inadéquat, mais ce n’est que mon avis… 😉

  3. Elle est très belle cette photo, Henri. L’impression de réalité qui s’en dégage, sa matière que l’on sentirait presque sous les doigts, donnent l’envie de se rapprocher de l’écran, et selon son degré de délicatesse ou de férocité, la caresser ou l’arracher pour s’en aller l’offrir à un(e) autre. Le virage “fauve” des tonalités offre, à mon humble avis, un parfait équilibre pour la “douceur” de ce blanc.

  4. Bien sûr Irène que ce n’est pas une fleur de carotte sauvage , ce sont les graines d’une Urosperme fausse picride … mais je ne vais quand même pas réécrire le Haïku de Yamaguchi Sodô . 😉

  5. Perfection de la plante que rend très bien la photo. Et bel Haïku.

  6. Une image de plénitude, à la fois dense et évanescente. A prescrire immédiatement aux lapins de Garenne !
    ;o)

  7. On sent effectivement la matière. Belle photo !

  8. Superbe “évidence” du Haïku qui illustre bien ta photo, qui offre une rondeur tout en douceur et délicatesse, parfaitement rendue par l’excellente profondeur de champ

  9. Tres jolie , un pompon de douceur !

    la colorimétrie rend hommage a cette photo.
    j’aime beaucoup

  10. Merci à tous d’avoir partagé avec moi ce petit moment de douceur. Je crois pour une fois avoir fait passer un peu de ce que je voulais , du moins à certains.
    @ Francis , il reste une autre option , couper délicatement cette fleur , et s’en servir pour une douce caresse à un(e) autre. 😉

  11. J’aime beacoup. Très doux.

  12. beaucoup, pardon.

  13. Belle macro, comme Irène de Groot, pas sûr de la carotte sauvage…

  14. J’aime beaucoup aussi la rondeur, les détails et le sépia

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