Sur la plage de Balbec, Marcel Proust fait un retour attendu.
GBertrand
Susan Sontag : "Une photographie passe pour une preuve irrécusable qu'un événement donné s'est bien produit."
Entre deux opérations de sauvegarde de fichiers, je reviens sur les images publiées ici ou là , et je pense que les pixels nous travaillent bien le chou !
Puisqu’il faut faire la part des choses entre le créé et le ram, je vois un travail de composition et d’assemblage dont je n’ose imaginer le temps qu’il a fallu pour le parfaire, et pour cette raison je vous laisse quelques lignes. Maintenant, Proust est quand même un peu loin, et Balbec, bah, il doit y pleuvoir un peu plus souvent que la moyenne nationale, non ?
Par ailleurs, je ne suis pas trop spécialiste des montages. Quand il se fondent dans une image possiblement argentique, et si l’image provoque l’émotion, on y va. La vôtre a une cohérence, avec des airs qui ne sont plus du bal des masques. Peut-être sont ils encore en recherche ?
De toutes manières, si je retourne à Balbec, ce sera un peu pour voir autre chose.
;o)
Magique !
Du rêve, de l’espace, de la profondeur, une belle cohérence de lumière et la petite touche en plus avec l’éclairage, le point d’exclamation sur le petit bonhomme …
Montage parfait.
Pour alain-micher et Bernard : Pourquoi parlez-vous de montage ? Moi j’y vois un film projeté sur le mur courbe ou tout simplement un acteur sur la plage ?
“Pour Alain-Michel” : pardon pour la faute de frappe
@andréroques : c’est tout simplement quelques disparités (lumières, flou sur certains personnages et pas sur d’autres alors qu’ils se trouvent sur le même ligne…) qui m’ont fait penser à un montage, par ailleurs parfaitement maîtrisé, comme le souligne LVQ. Mais, rassurez-vous, chez moi le mot montage n’a nulle signification négative.
;o)
Idem pour moi, le mot montage n’a nulle signification péjorative et je ne veux surtout pas dire où je le vois pour ne pas casser cet effet panoramique qui nous projette par sa lumière au-delà du bâtiment