François sur 15 février 2011 à 23h18 Le chat blanc crève l’image, le ciel improbable, moiré (postproduit, comme on dit ?) donne une impression de vue sous-marine, le grand-angle déforme l’ensemble pour donner l’impression à la fois d’espace et d’exiguïté… j’adore !
elbiliscibus sur 16 février 2011 à 2h15 Étonnamment, je n’ai pas remarqué le chat tant j’étais intrigué par le ciel.
cormac sur 16 février 2011 à 6h14 J’aime bcp le côté spectaculaire du lieu et du cadrage. Le blanc éblouissant du chat et son positionnement dans l’image aussi. Il y a tout ce qu’il faut pour avoir une image forte et graphique! Problème: C’est quoi ce ce ciel !?!?!?
pascal georges sur 16 février 2011 à 8h35 comme un décor de carton-pâte (sauf les graffiti); très théâtral.
Brigitte David sur 16 février 2011 à 9h41 Le ciel marin qui fait des ronds dans l’eau, cette urbanité verticale, délitée, étouffante et ce Chat Royal d’Istanbul qui seul révèle que la scène n’est pas celle d’un théâtre… Autant de raisons d’aller voir le Bosphore… Surtout quand on vient de revoir Uzak , ce film magnifique de Nuri Bilge Ceylan à l’atmosphère hivernale saturée de noirceur, de neige et d’eau.
Henri sur 16 février 2011 à 10h44 c’est vrais que ce ciel est étrange , comme de l’acier damassé …
blagapart sur 16 février 2011 à 10h50 Le ciel n’est évidemment pas un ciel, mais un sol de marbre (pris dans une mosquée pour conserver l’unité de lieu…). Un grand merci à vous tous pour vos commentaires. @ Brigitte : je pars à Istambul la semaine prochaine, c’était pour me mettre dans le bain (!). Je saluerai le Bosphore de ta part.
Francis Leplay sur 16 février 2011 à 10h55 Etrange cette sensation de se retrouver dans une BD, et puisque dans cette image tout concourt à s’éloigner du réalisme (déformation du grand angle, perte des repères et des perspectives, ville sans âme qui vive ou réincarnée en chat), alors ce ciel moiré ou damassé, comme l’écrit Henri, me semble cohérent, ce ciel remplacé par une toile peinte, un faux-semblant qui finit de théâtraliser la composition.
Brigitte David sur 16 février 2011 à 13h20 Ca alors Blagapart c’est une bonne blague… et très gentil de ta part de saluer le Bosphore – que je ne connais pas- pour moi…
Bernard LVQ sur 16 février 2011 à 19h43 J’aime vraiment beaucoup cette vue. Tout en aimant spontanément, ma première réaction fut d’être surpris par ce ciel, et puis il y eut cette bascule de l’imaginaire, l’impression de me balader dans un décor de cinéma grâce à ce ciel… un décor à la Fellini avec un plafond en toile peinte (ou damassé comme déjà si bien dit… ah les épées ou couteaux en acier damassé … somptueux !). J’adore Istanbul, bien qu’il n’y ait plus les échoppes le long de la corne d’or, mais il y a tellement de choses à découvrir **
Le chat blanc crève l’image, le ciel improbable, moiré (postproduit, comme on dit ?) donne une impression de vue sous-marine, le grand-angle déforme l’ensemble pour donner l’impression à la fois d’espace et d’exiguïté… j’adore !
Étonnamment, je n’ai pas remarqué le chat tant j’étais intrigué par le ciel.
J’aime bcp le côté spectaculaire du lieu et du cadrage.
Le blanc éblouissant du chat et son positionnement dans l’image aussi.
Il y a tout ce qu’il faut pour avoir une image forte et graphique!
Problème: C’est quoi ce ce ciel !?!?!?
superbe, mais j’aime pas trop ce ciel…;-)
comme un décor de carton-pâte (sauf les graffiti);
très théâtral.
Le ciel marin qui fait des ronds dans l’eau, cette urbanité verticale, délitée, étouffante et ce Chat Royal d’Istanbul qui seul révèle que la scène n’est pas celle d’un théâtre… Autant de raisons d’aller voir le Bosphore… Surtout quand on vient de revoir Uzak , ce film magnifique de Nuri Bilge Ceylan à l’atmosphère hivernale saturée de noirceur, de neige et d’eau.
c’est vrais que ce ciel est étrange , comme de l’acier damassé …
Le ciel n’est évidemment pas un ciel, mais un sol de marbre (pris dans une mosquée pour conserver l’unité de lieu…).
Un grand merci à vous tous pour vos commentaires.
@ Brigitte : je pars à Istambul la semaine prochaine, c’était pour me mettre dans le bain (!). Je saluerai le Bosphore de ta part.
Etrange cette sensation de se retrouver dans une BD, et puisque dans cette image tout concourt à s’éloigner du réalisme (déformation du grand angle, perte des repères et des perspectives, ville sans âme qui vive ou réincarnée en chat), alors ce ciel moiré ou damassé, comme l’écrit Henri, me semble cohérent, ce ciel remplacé par une toile peinte, un faux-semblant qui finit de théâtraliser la composition.
Ca alors Blagapart c’est une bonne blague… et très gentil de ta part de saluer le Bosphore – que je ne connais pas- pour moi…
J’aime vraiment beaucoup cette vue.
Tout en aimant spontanément, ma première réaction fut d’être surpris par ce ciel, et puis il y eut cette bascule de l’imaginaire, l’impression de me balader dans un décor de cinéma grâce à ce ciel… un décor à la Fellini avec un plafond en toile peinte (ou damassé comme déjà si bien dit… ah les épées ou couteaux en acier damassé … somptueux !).
J’adore Istanbul, bien qu’il n’y ait plus les échoppes le long de la corne d’or, mais il y a tellement de choses à découvrir **
Ça fait cinéma, à plus d’un titre.