Mardin, 2010




12 Commentaires
  1. Encore une qui fuie la morosité bonne idée ce petit flou de bougé.

  2. J’aime beaucoup cette image pour le contraste des matières et surtout pour le sourire dans cette ville de funeste mémoire…

  3. comme d’habitude vos images commence par me dérouter… et puis je me laisse aller.
    Le sourire (même flou) et le mouvement du sujet crées un dynamisme fort. le petit coin sombre en bas a gauche nous invite a prendre le virage et a grimper l’escalier, (que l’on devine) 4 a 4, emporté par l’élan de la jeune fille.

  4. J’adore cette photo, cette superbe jeune fille fraîche, légère, au sourire épanoui dont la chair se donne à voir avec délectation… et le contraste avec ces murs délabrés.

    Maintenant le rapport avec Mardin, il faut connaître le nom, et sans la remarque d’Irène… maintenant l’histoire je connaissais mais pas le lieu du massacre..

    Alors le titre s’en trouve renforcé ! :
    Traversée… de l’histoire

    wikipedia :
    Durant la Première Guerre mondiale, dans le cadre du génocide arménien, les 8 000 Arméniens de la ville, puis les autres minorités chrétiennes environ 12 000 (Massacre des Assyriens), sont déportés ou massacrés.

  5. Pas facile de faire un vrai beau flou…
    Ici il est parfaitement justifié et parfaitement réussi: il donne un beau mouvement à l’image et ne perd pourtant rien du magnifique sourire de la jeune fille.

  6. Flou et expressivité du personnage, gageure réussie

  7. J’ai tout de suite adoré cette photo sans en comprendre le contexte. Dérouté comme Sylvain B, ce flou bizarre, à la périphérie de l’image, qui donne je ne sais quoi de plus au flou de mouvement, une dynamique particulière. j’aime après coup la sobriété de l’évocation du lieu par l’auteur, la perspicacité d’Irène, l’enrichissement de la lecture de cette image au fil des commentaires. Cela lui donne une force supplémentaire. Belle victoire de ce sourire d’enfant sur la folie des hommes… Bravo!

  8. merci pour les commentaires.
    Et merci d’avoir étayé les infos 🙂
    Comme quoi une photo ne se suffit pas à elle seule.

  9. @ laps
    “Comme quoi une photo ne se suffit pas à elle seule” non tu exagères, je corrigerais > “ce type de photo” (!) avec laquelle l’on veut transmettre sur ce lieu dont le nom ne fait pas obligatoirement écho pour tout le monde…

    Autrement mon com aurait été seulement 😉 orienté sur la beauté explosive de cette jeune fille magnifiquement rendue en opposition avec la rudesse du lieu, le côté onirique, jeux d’adolescents, les premiers amours, la course pour rejoindre l’autre…

  10. Provoqué par le flou de bougé, il y a comme un soupçon de cruauté dans le sourire (ou rire) de cet enfant. Et cette duplicité rire/rictus accroît la force de la course et le vertige de cette composition.
    [Vu dans cinq au hasard]

  11. je découvre… Que de grâce chez cette jeune femme…

  12. Superbe flou et belle jeunesse ! Tout a été dit et j’applaudis de concert !

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