Nice, en sortant des petites rues.
La lumière soudaine.
La clameur de la plage et le vent qui te gifle. Les nappes volent. Le reste aussi.




remi o.

Focus sur les foules, les gens, le mouvement et les histoires courtes ou éternelles. je ne me cache jamais. Je me fais rarement remarquer. On ne bouge plus.
9 Commentaires
  1. @oudinot: tres amusant et réussi,les deux personnage de droite me fait penser à Jacques Tati. L’hypercontraste lui va bien

  2. pardon pour les fautes!!

  3. terrible !!!

    j’adore !

  4. merci !

  5. C’est le genre de photo où je peux rester très longtemps et/ou revenir souvent. Le genre de photo que l’on peut afficher avec toujours la source d’inspiration pour l’imaginaire, avec un panel d’émotion à naître, d’histoires à enfourcher. A la fois réaliste et onirique, anecdotique et symbolique, et techniquement ici à l’écran réussie.

  6. Même commentaire que Laurent, rien à rajouter.
    Ah si! Je regrettte juste l’extrème netteté chirurgicale du numérique que je trouve “dure” pour un tel sujet.
    Mais il faudra bien que je m’y fasse … 😉

  7. Très dynamique, et déclenchement à la HCB . Merci et bravo , c’est du plaisir !

  8. C’est vrai que le numérique est souvent plus claquant que l’argentique. La faute peut-être aux réglages d’algorithmes internes (accentuation, saturation) de nos réflex numériques ? Heureusement, sur mon “vieux” D70 j’ai pré-réglé et modéré leur portée.
    Reste à ne pas abuser de l’accentuation facile de Photoshop.

    Merci à vous deux pour ces commentaires éclairés.

  9. Sympa. C’est vrai qu’on pense un peu aux Vacances de M. Hulot.

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *