Bernard Levq sur 25 mai 2010 Ă 0h51 et un petit clin d’Å“il tombĂ© sur le clavier par pur hasard suite Ă “il n’a peur de rien”… Forme littĂ©raire : roman d’aventure dans lequel les rĂ©fĂ©rences «prĂ©historiques» malmènent fortement la chronologie Ă©tablie par les chercheurs. Ton littĂ©raire : humoristique, proche de celui d’une bande dessinĂ©e. Sujet traitĂ© : Petit-FĂ©roce, habite une grotte confortable près du lac de la Lune. Maman, prĂ©pare de dĂ©licieuses soupes au mammouth. Papa, Grand-FĂ©roce, chasse le tigre avec sa massue. Et je n’ai peur de rien. Ou presque… Dans ce rĂ©cit, tout concourt Ă une identification des enfants aux jeunes hĂ©ros qu’ils rencontrent. Le tissu familial, le tissu social, ancrĂ©s dans « une prĂ©histoire » imaginĂ©e par l’auteur………. đŸ˜‰
bernard levq sur 26 mai 2010 Ă 22h47 ah, enfin un connaisseur đŸ˜‰ Que veux-tu qu’un monstre puisse faire contre cela ?
flo g sur 27 mai 2010 Ă 13h38 elle a quelque chose de très moderne đŸ˜‰ beau choix de traitement aussi la pancarte est si bien vue aussi !
solong sur 27 mai 2010 Ă 22h13 Très bien vu! et très beau dĂ©veloppement en effet. J’ai d’emblĂ©e Ă©tĂ© frappĂ© par les similitudes (Ă©paules, tĂªte, yeux, direction de la lumière (ça c’est fort!)…) entre le jeune homme et l’image sur le mur. Je m’y raconte du coup une bien autre histoire que celle d’un jeune innocent menacĂ© par le monstre: Avec l’impression que l’image sur le mur en est une reprĂ©sentation (du jeune homme), un double informatique, une sorte d’ “avatar”, comme si elle Ă©tait une sorte de scan projetĂ© par l’Ă©cran sur ce mur Ă travers le jeune homme, le long de cette diagonale, qu’elle nous en rĂ©vĂ©lait cette monstruositĂ©… une histoire bien plus effrayante… ou la rĂ©alitĂ© n’est plus oĂ¹ l’on croyait…
bernard levq sur 29 mai 2010 Ă 22h04 solong, entièrement d’accord avec toi, en effet une histoire effrayante, un monde qui s’installe sans retenue et avec aveuglement dans le virtuel, oĂ¹ l’on s’invente des personnages qui reprĂ©sentent ce que l’on voudrait bien Ăªtre…
cormac sur 8 novembre 2010 Ă 20h15 Très belle photo, très bien construite. Par contre je rĂ©agis au dernier message de Bernard, car je ne comprends pas cette “histoire effrayante”, et pour rĂ©pondre Ă la toute fin du message, depuis la nuit des temps l’homme s’invente des personnages qui reprĂ©sentent ce qu’il voudrait ou ne voudrait pas Ăªtre. C’est mĂªme le moteur principal de l’imaginaire.
Bernard Levq sur 9 novembre 2010 Ă 11h36 @ Cormac merci de ton passage. “Effrayante”, car aujourd’hui de plus en plus de personnes transposent ce monde virtuel ( ce qui n’est absolument pas la mĂªme chose qu’imaginaire*) dans le rĂ©el et voient leurs relations Ă travers ces avatars qui n’ont pas de limites… en gĂ©nĂ©ral dans la destruction / violence. …et pour faire court et avec humour (!) si tu as vu un avatar d’une sÅ“ur ThĂ©rĂ©sa je te laisse mon n° de tĂ©l đŸ˜‰ Quand j’Ă©tais gamin je ne rĂªvais pas d’avoir de mitrailleuse lourde dans chaque main, des missiles greffĂ©s sur les avant-bras, une fusĂ©e dans le dos et de tuer le maximum des personnes qui passaient Ă mes cĂ´tĂ©s… ni de m’appeler Robocop… je n’avais pas besoin d’envoyer des sms toutes les dix minutes Ă tous mes copains… l’on cherchait Ă se voir dès que l’on pouvait pour s’amuser ensemble… ou je prenais un bon bouquin, une bonne BD. A l’Ă¢ge adulte rĂªver de ce que l’on voudrait Ăªtre ou ne pas Ăªtre et bien faudrait passer Ă l’action… et se rĂ©aliser enfin, non ? đŸ˜‰
et un petit clin d’Å“il tombĂ© sur le clavier par pur hasard suite Ă “il n’a peur de rien”…
Forme littéraire : roman d’aventure dans lequel les références «préhistoriques» malmènent fortement la chronologie établie par les chercheurs.
Ton littéraire : humoristique, proche de celui d’une bande dessinée.
Sujet traité : Petit-Féroce, habite une grotte confortable près du lac de la Lune. Maman, prépare de délicieuses soupes au mammouth. Papa, Grand-Féroce, chasse le tigre avec sa massue. Et je n’ai peur de rien. Ou presque…
Dans ce récit, tout concourt à une identification des enfants aux jeunes héros qu’ils rencontrent.
Le tissu familial, le tissu social, ancrĂ©s dans « une prĂ©histoire » imaginĂ©e par l’auteur……….
đŸ˜‰
Il ne s’est pas encore retournĂ© … j’adore !
“MĂªme pas peur”, c’est normal il a un Mac đŸ˜‰
ah, enfin un connaisseur đŸ˜‰
Que veux-tu qu’un monstre puisse faire contre cela ?
elle a quelque chose de très moderne đŸ˜‰
beau choix de traitement aussi
la pancarte est si bien vue aussi !
Annie, Flo, merci pour votre regard
Très bien vu! et très beau développement en effet.
J’ai d’emblĂ©e Ă©tĂ© frappĂ© par les similitudes (Ă©paules, tĂªte, yeux, direction de la lumière (ça c’est fort!)…) entre le jeune homme et l’image sur le mur.
Je m’y raconte du coup une bien autre histoire que celle d’un jeune innocent menacĂ© par le monstre: Avec l’impression que l’image sur le mur en est une reprĂ©sentation (du jeune homme), un double informatique, une sorte d’ “avatar”, comme si elle Ă©tait une sorte de scan projetĂ© par l’Ă©cran sur ce mur Ă travers le jeune homme, le long de cette diagonale, qu’elle nous en rĂ©vĂ©lait cette monstruositĂ©… une histoire bien plus effrayante… ou la rĂ©alitĂ© n’est plus oĂ¹ l’on croyait…
solong, entièrement d’accord avec toi, en effet une histoire effrayante, un monde qui s’installe sans retenue et avec aveuglement dans le virtuel, oĂ¹ l’on s’invente des personnages qui reprĂ©sentent ce que l’on voudrait bien Ăªtre…
Très belle photo, très bien construite.
Par contre je rĂ©agis au dernier message de Bernard, car je ne comprends pas cette “histoire effrayante”, et pour rĂ©pondre Ă la toute fin du message, depuis la nuit des temps l’homme s’invente des personnages qui reprĂ©sentent ce qu’il voudrait ou ne voudrait pas Ăªtre. C’est mĂªme le moteur principal de l’imaginaire.
@ Cormac merci de ton passage.
“Effrayante”, car aujourd’hui de plus en plus de personnes transposent ce monde virtuel ( ce qui n’est absolument pas la mĂªme chose qu’imaginaire*) dans le rĂ©el et voient leurs relations Ă travers ces avatars qui n’ont pas de limites… en gĂ©nĂ©ral dans la destruction / violence.
…et pour faire court et avec humour (!) si tu as vu un avatar d’une sÅ“ur ThĂ©rĂ©sa je te laisse mon n° de tĂ©l đŸ˜‰
Quand j’Ă©tais gamin je ne rĂªvais pas d’avoir de mitrailleuse lourde dans chaque main, des missiles greffĂ©s sur les avant-bras, une fusĂ©e dans le dos et de tuer le maximum des personnes qui passaient Ă mes cĂ´tĂ©s… ni de m’appeler Robocop… je n’avais pas besoin d’envoyer des sms toutes les dix minutes Ă tous mes copains… l’on cherchait Ă se voir dès que l’on pouvait pour s’amuser ensemble… ou je prenais un bon bouquin, une bonne BD.
A l’Ă¢ge adulte rĂªver de ce que l’on voudrait Ăªtre ou ne pas Ăªtre et bien faudrait passer Ă l’action… et se rĂ©aliser enfin, non ? đŸ˜‰