J’ai une une premiere vision de votre photo. Depuis vous l’avez contrastée, il me semble, et c’est beaucoup mieux. Pour ma part, les amas ont toujours quelque chose de fascinant, est-ce que le petit bout de mur que vous avez laissé à gauche est volontaire? Personnellement, j’aurais préféré sans.Rassurez vous ce n’est pas moi qui vous ai noté..
Merci pour votre avis. Ce n’est pas un mur mais le côté du cageot à l’intérieur duquel étaient jetées ces étiquettes dans une brocante.
Plus que l’esthétique, j’ai aimé ce que ces étiquettes, authentiques, évoquaient d’un passé révolu où l’on comptait en Francs et où le boucher était un personnage important du quartier.
Jean-Marc Silvestre
sur 29 octobre 2007 Ã 22h31
@ Pierre Grave : Il semblerait que les huitres, les filets de truites et les moules se trouvent plus facilement chez les poissonniers !
Quant au boudin, on se demande ce qu’il fait ici ! 😉
J’ai une une premiere vision de votre photo. Depuis vous l’avez contrastée, il me semble, et c’est beaucoup mieux. Pour ma part, les amas ont toujours quelque chose de fascinant, est-ce que le petit bout de mur que vous avez laissé à gauche est volontaire? Personnellement, j’aurais préféré sans.Rassurez vous ce n’est pas moi qui vous ai noté..
Merci pour votre avis. Ce n’est pas un mur mais le côté du cageot à l’intérieur duquel étaient jetées ces étiquettes dans une brocante.
Plus que l’esthétique, j’ai aimé ce que ces étiquettes, authentiques, évoquaient d’un passé révolu où l’on comptait en Francs et où le boucher était un personnage important du quartier.
@ Pierre Grave : Il semblerait que les huitres, les filets de truites et les moules se trouvent plus facilement chez les poissonniers !
Quant au boudin, on se demande ce qu’il fait ici ! 😉