Fallait-il en garder autant dans le dos du sujet et en bas de la photo? peut-être besoins de densifier le camion et le feuillage pour mettre le sujet mieux en valeur, c’est mon avis!
Je pense que oui parce que le contexte dans lequel se trouve cet homme est important: camion, voiture, sacs de jute, c’est son milieu de travail. Quant à densifier, je ne sais pas comment on fait.
Fallait-il en garder autant dans le dos du sujet et en bas de la photo? peut-être besoins de densifier le camion et le feuillage pour mettre le sujet mieux en valeur, c’est mon avis!
Je pense que oui parce que le contexte dans lequel se trouve cet homme est important: camion, voiture, sacs de jute, c’est son milieu de travail. Quant à densifier, je ne sais pas comment on fait.
Oui mais le contexte que tu décris n’est pas flagrant pour quelqu’un qui ne connait pas les lieux. Même les sacs de jute ne sont pas vraiment visibles. Quant aux beedis, si on n’est pas allé en Inde ou si l’on n’est pas un ancien baba-cool des années 70 qui sent encore un peu le patchouli dans sa barbe en broussaille, je ne suis pas sur que l’on connaisse 😉
Comme Pictaris … le problème est justement que le contexte n’est pas montré !
Toi tu sais ce qu’il y avait autour de lui lorsque tu as pris la photo, nous non.
C’est toujours le piège dans lequel nous sommes tous tombés ! 😉
Vu comme ça, même sans le contexte, je trouve l’ambiance intéressante. N’étant jamais allé aux Indes, je me demande ce qu’est un beedi?
Je n’aurais pas parié que tu pensais à saisir le contexte en prenant la photo. Je percevait plutôt un déclenchement précipité en apercevant cet homme, dont la silhouette claire (et les volutes de la beedi) est révélée par le passage du camion ( son ombre et la tôle sombre); Il fallait faire vite… non?
Le cadrage me laisse la même impression que dans le “retour de pêche” de Bernard Lev: un choix non fait entre le portrait et une narration plus vaste…
je serais très tenté ici par un cadre serré sur l’homme, avec plusieurs options: 1) La très belle attitude et la finesse du traitement des drapés inciterait à garder la silhouette entière; 2) Envie aussi de voir mieux ce visage et les volutes de la cigarette, le contraste avec cet arrière plan;3) un truc à tenter aussi avec ce deuxième personnage dans le camion: deux profils, deux mains, deux pensées, deux vies, une direction….
Et et et … et je ne t’ai même pas dit que j’aime beaucoup ce noir et blanc… et cette photo aussi…à lui chercher des poux… 😉
C’est une espèce de cigarette très fine faite avec de la poussière de tabac roulée dans une feuille nouée avec un fil rose. Très peu chère mais parait-il très concentrée en nicotine.
Merci Pictaris 🙂
Merci à vous tous.
Voilà , j’ai tenu compte de vos commentaires, je comprends qu’effectivement quand on ne connait pas l’Inde le contexte n’était pas flagrant, donc que j’avais une photo où il n’y avait pas de choix fait, comme vous me l’avez dit chacun à votre manière.
Le titre aussi n’est pas assez explicite, pour ceux qui ne savent pas ce qu’est une beedi.
J’ai donc recadré, est ce que c’est mieux ?
et disons qu’elle pourrait s’appeler : la pause du coolie. Le coolie est un porteur.