L’image est très dure par la composition et par l’attitude du personnage, jeune, dont on se demande s’il se prosterne devant son mobile ou s’il vient d’apprendre une nouvelle qui le casse littéralement. L’oiseau, en contrepoint accentue l’impression de malheur.
Estienne
sur 27 septembre 2016 à 13h42
Tête à tête avec son portable, à l’abri de sa barrière de cheveux, il communique avec ses “amis” … triste fin de civilisation ! Excellente image !
brigitte david
sur 27 septembre 2016 à 15h26
Il joue et comme tous les gamins qui jouent le monde extérieur n’existe pas!
Je ne pense pas que ce soit la fin de la civilisation. Peut-être de la nôtre, alors. On constate, on regrette, on se plaint, mais … qui d’autre que notre génération a mis en place ces nouveaux systèmes qui altèrent la communication avec nos juniors. Nous sommes responsables de cette dérive, et il nous appartient donc d’en trouver les remèdes . Comment ? Je ne sais pas. Remuons nous les méninges, au lieu de rester bien à l’aise dans nos certitudes.
L’image est très dure par la composition et par l’attitude du personnage, jeune, dont on se demande s’il se prosterne devant son mobile ou s’il vient d’apprendre une nouvelle qui le casse littéralement. L’oiseau, en contrepoint accentue l’impression de malheur.
Tête à tête avec son portable, à l’abri de sa barrière de cheveux, il communique avec ses “amis” … triste fin de civilisation ! Excellente image !
Il joue et comme tous les gamins qui jouent le monde extérieur n’existe pas!
Trop triste !
merci pour vos avis…;-)
Je ne pense pas que ce soit la fin de la civilisation. Peut-être de la nôtre, alors. On constate, on regrette, on se plaint, mais … qui d’autre que notre génération a mis en place ces nouveaux systèmes qui altèrent la communication avec nos juniors. Nous sommes responsables de cette dérive, et il nous appartient donc d’en trouver les remèdes . Comment ? Je ne sais pas. Remuons nous les méninges, au lieu de rester bien à l’aise dans nos certitudes.
Il y a bien des façons de vivre sa vie par procuration, certains mettent du vieux pain sur leur balcon, d’autres des mots sur un écran