Nous n’avions pas fini de fumer nos gitanes…




11 Commentaires
  1. Ernest Pignon Ernest ?
    à mon sens, une photo réussie à tous points de vue : sujet, mise en perspective des plans, nuances de gris. juste les blancs qui grillent un peu au fond mais ils participent du cheminement du sombre vers la lumière.

  2. Oui bien sûr Adrien, Ernest Pignon-Ernest et… Jean Genet pour la citation Le Condamné à mort…
    Ca grille un peu au fond effectivement! Merci à vous.

  3. Très bien vu ! Prise à Saint-Paul ou ailleurs ?

  4. A Saint-Paul, Journées du patrimoine avant restructuration…

  5. Une belle succession de plans et de lumières, avec le dessin de EPE judicieusement situé: une réussite.

  6. Très belle ! Ils ont tout dit mais j’adhère !

  7. Je ne connaissais pas Ernest Pignon-Ernest avant de voir cette photo, et ça a l’air intéressant. Ni la citation de Genest. Mais du coup, ce cadrage au cordeau est beaucoup trop académique, droit, rigide. Brigitte, lâchez-vous !!! 🙂

  8. @Tristan. La photo est mauvaise. Ce n’est pas une question de se lâcher ou pas.
    Le sujet était déjà traité. ET le lieu n’incitait pas à l’emphase, au débordement, à la surenchère dramatique. Le seul regard pour moi possible dans ce genre de circonstance est la retenue.
    Si cette photo vous fait découvrir EPE et Genet (sans s) dont la citation est un vers du Condamné en mort ( vous pouvez l’écouter aussi chanté par Marc Ogeret ou Hélène Martin ou Jeanne Moreau et Etienne Daho… pour les versions que je connais) c’est déjà pas mal! Si en plus vous ne connaissiez pas ces interprètes…

  9. Brigitte, cette photo (et les commentaires sur LVEG) me font découvrir EPE, c’est indéniable. Les interprètes de Genet (sans s 😉 je ne les connais pas (pas mon créneau musical). Mais la photo n’est pas mauvaise. A mes yeux, c’est une photo contrainte (d’où mon propos). Par les lieux, les traitements antérieurs du sujet ou la volonté de faire différent… Je ne sais. Mais contrainte. Alors que EPE (j’ai fait quelque recherches rapides) évoque plutôt une certaine liberté. C’est là que je trouve votre photo antinomique avec ce que vous montrez.

  10. Contrainte, oui, enfermée, comme l’idée de la prison. Avec ses grilles, ses barbelés , ses murs lépreux.
    Je ne sais pas si EPE pensait à Genet. Mais la sensualité de ses dessins l’évoque
    immanquablement.
    Le sujet de la photo c’est ce paradoxe entrer la fermeture du lieu et la férocité vitale qu’exprime EPE. Ce n’était pas le lieu pour moi d’en rajouter.

  11. Ratée ? Pas tant que ça, à mon avis.
    Ce serait intéressant d’avoir des photos sur la façon dont les oeuvres d’EPE peuvent vieillir sur leurs supports.

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