Merci à vous trois. C’est pris d’un tramway bordelais, sur la route de Pessac;
Sur la route de Pessac
La baronne promène son sac
C’est beau-papa qui lui a payé
Un sac tout neuf en peau d’ mulet
Sur la route de Pessac
La baronne promène son sac
Diable ! Mon Dieu !
Diable ! Grand Dieu !
Quel régal pour les yeux !
L’ vieux baron a r’nié sa femme
Ainsi que son fils Antoine
Flanquant tout l’ monde à la porte
Qu’importe ! qu’importe !
Avec sa jolie belle-fille
Et pour toujours, il file le parfait amour
Vive la marquise de Pompadour ! (M. Agneray)
François Cardi
sur 10 avril 2014 à 21h25
Le mouvement est magnifique, avec un noir et blanc mystérieux, du flou comme on les aime.
Monsieur HR
sur 10 avril 2014 à 21h37
Sur la route de Pessac on dirait que les arbres se font la malle !
Sans vouloir rouvrir un vieux débat, j’ai bien observé la version couleur et celle présentée ici. Dans la publication de votre site, la couleur permet de mieux comprendre la dynamique mystérieuse qui anime cette route de campagne.
Ici, à mon humble avis, les gris très travaillés y parviennent quand même, mais d’une façon presque poussive.
Je ne puis m’empêcher de penser qu’il manque un élément clé à cette scène.
Tenez, un scooter par exemple !
😉
Merci de vos commentaires.
Quand on s’ennuie, en train ou en tramway, autant photographier par la fenêtre. Les résultats donnent des flous très particuliers, selon la façon dont on suit le mouvement.
@AMB: vous savez que, plutôt qu’un scooter, je verrais bien une femme dénudée… mais il n’y en avait pas!
Quant à la version couleur, elle fait partie d’une série, avec ses codes de couleur, et conduit ailleurs…
amb
sur 12 avril 2014 à 11h25
Bon, pas de femme nue, pas de scooter.
Un tramway détourné de sa ligne régulière alors ?
😉
“Et quand il eut dépassé le pont, les fantômes vinrent à sa rencontre.”
Une superbe image !
@ GBertrand = Je ne vois pas Nosferatu, mais j’imagine…
😉
Du vent ou une légère brise dans les branches de… C’est plein de fantômes là-bas dedans!
Merci à vous trois. C’est pris d’un tramway bordelais, sur la route de Pessac;
Sur la route de Pessac
La baronne promène son sac
C’est beau-papa qui lui a payé
Un sac tout neuf en peau d’ mulet
Sur la route de Pessac
La baronne promène son sac
Diable ! Mon Dieu !
Diable ! Grand Dieu !
Quel régal pour les yeux !
L’ vieux baron a r’nié sa femme
Ainsi que son fils Antoine
Flanquant tout l’ monde à la porte
Qu’importe ! qu’importe !
Avec sa jolie belle-fille
Et pour toujours, il file le parfait amour
Vive la marquise de Pompadour ! (M. Agneray)
Le mouvement est magnifique, avec un noir et blanc mystérieux, du flou comme on les aime.
Sur la route de Pessac on dirait que les arbres se font la malle !
Un moment de poésie !
Sans vouloir rouvrir un vieux débat, j’ai bien observé la version couleur et celle présentée ici. Dans la publication de votre site, la couleur permet de mieux comprendre la dynamique mystérieuse qui anime cette route de campagne.
Ici, à mon humble avis, les gris très travaillés y parviennent quand même, mais d’une façon presque poussive.
Je ne puis m’empêcher de penser qu’il manque un élément clé à cette scène.
Tenez, un scooter par exemple !
😉
Merci de vos commentaires.
Quand on s’ennuie, en train ou en tramway, autant photographier par la fenêtre. Les résultats donnent des flous très particuliers, selon la façon dont on suit le mouvement.
@AMB: vous savez que, plutôt qu’un scooter, je verrais bien une femme dénudée… mais il n’y en avait pas!
Quant à la version couleur, elle fait partie d’une série, avec ses codes de couleur, et conduit ailleurs…
Bon, pas de femme nue, pas de scooter.
Un tramway détourné de sa ligne régulière alors ?
😉
Non, rien de plus.
Chercher parmi les ombres…