Olmar

Photographe amateur.
15 Commentaires
  1. Cette image que l’on devine plus qu’on ne la voit, les flaques de lumière et les ombres denses, les graffitis, les persiennes sur la droite et une personne qui hésite au bout du couloir : cherche-t-elle à entrer et ses yeux ne sont pas encore habitués à l’obscurité ou est-ce le soleil qui l’aveugle ? C’est flou et c’est magique parce que l’imagination travaille et reconstitue une histoire. Combien d’aventures peut-on écrire sur cette photo ?

  2. Estienne, pour répondre à ta question, je dirais autant que le nombre de participants à un atelier d’écriture créative, voire même le double s’il reste du temps sur la durée impartie… Oui, cette photo est inspirante!!!… Elle déclenche bien l’imaginaire… Un grand bravo à Olmar !!!…

  3. Un personnage qui revient sur un ieu connu autrefois …
    J’adore cette composition traitée subtilement qui sugère plus qu’il ne montre.
    @+

  4. En effet, une image qui suscite plein de sentiments…
    Très belle ambiance!

  5. qui ” suggère” …

  6. Retour ou départ ? Un flou qui se justifie comme un mystère qu’on entretient!

  7. Très belle composition, belle ambiance et beau rendu. Bravo!

  8. Qu’y a t il au premier plan sur la droite ? Un bouquet de fleurs séchées ?

    Et tout au bout la lumière.

    Touchée moi aussi, F

  9. Beau tirage.
    Le flou pour exprimer l’irréel ?
    La forte lumière blanche de la porte comme une N.D.E.

  10. Olmar parvient toujours à donner une dimension particulière aux lieux qu’il photographie (l’enfer, 122 rue de T …)

  11. que dire de plus après tous ces louanges que je partage

  12. fantomatique à souhaitn belle ambiance

  13. à souhait, fote de phrape

  14. Merci à tous pour ces retours positifs. Cet éternel retour, c’est un peu celui que je fais régulièrement dans cette immense friche à proximité de Lille des Grands Moulins de Paris, que j’aime arpenter.

    La première fois que j’y suis allé j’ai trouvé ce lieu effrayant. Cette friche est gigantesque, on peut s’en faire une idée ici (on entre dans la cour par le point A). Selon la météo le lieu peut prendre des allures réellement lugubres. Il est encore visité par des ferrailleurs qui balancent les morceaux de métaux qui subsitent par les ouvertures béantes. Un jour je faisais une photographie avec un Mamiya bi-obectif, en visant par en dessus donc, au dessus d’une mare, et un type plutôt bien mis me demande ce que je fais ici, une fois obtenu ma réponse il s’engouffre dans un des bâtiments, traverse un pont suspendu entre deux bâtiments et se dirigeait du pas du connaisseur vers un lieu connu de lui seul probabelement (je l’ai perdu de vue et n’avait pas trop envie de savoir non plus). Depuis j’ai toujours une petite appréhension quand je m’y rends, mais je reste fasciné par l’ambiance qui y règne.

    Je m’identifie donc un peu à ce personage qui est entré dans le ventre de cette friche, qui va en ressortir, probablement, dans un va et vient entre ces deux points de lumière.

    @ Flore : Seulement de la peinture écaillée mais qui forme il est vrai un beau bouquet.

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