C’est pile poil au bon moment, bonne distance, beau cadrage, très réussi!
Mais ce pauvre garçon a un problème avec son cou… 😉
alain-michel boley
sur 8 mars 2012 à 21h04
La ville est sombre et la pudeur est sauve, mais c’était moins une…
Bravo !
😀
Bernard Lv
sur 8 mars 2012 à 21h18
Tiens, c’est étonnant mais j’y vois comme un clin d’œil et parallèle avec celle que j’ai publié ce jour, pour ce qui est de la démesure de “l’objet” présenté (mannequin / tags) et la personne réelle… avec en plus un signe poétique, ici une mouette, chez moi, la tête dans les mains 😉
Francis Leplay
sur 8 mars 2012 à 21h37
J’ai très mauvais esprit, car je ne peux m’ empêcher de penser qu’elle va se prendre une fiente. Une autre façon de dire que je trouve aussi cela “pile poil au bon moment, bien cadré et très réussi”. C’est géant, comme on disait quand j’étais petit, avec le sol en abscisse (super le sol) , le mur en ordonnée, la diagonale invisible des regards qui relie les deux personnages, et la mouette qui tend vers l’infini ou la poésie. Grand bravo.
Merci pour vos commentaires et je me permets de mettre en lien une version moins karchérisé du géant, j’ai l’impression que le grain argentique n’aime pas mais alors pas du tout la compression numérique.
C’est pile poil au bon moment, bonne distance, beau cadrage, très réussi!
Mais ce pauvre garçon a un problème avec son cou… 😉
La ville est sombre et la pudeur est sauve, mais c’était moins une…
Bravo !
😀
Tiens, c’est étonnant mais j’y vois comme un clin d’œil et parallèle avec celle que j’ai publié ce jour, pour ce qui est de la démesure de “l’objet” présenté (mannequin / tags) et la personne réelle… avec en plus un signe poétique, ici une mouette, chez moi, la tête dans les mains 😉
J’ai très mauvais esprit, car je ne peux m’ empêcher de penser qu’elle va se prendre une fiente. Une autre façon de dire que je trouve aussi cela “pile poil au bon moment, bien cadré et très réussi”. C’est géant, comme on disait quand j’étais petit, avec le sol en abscisse (super le sol) , le mur en ordonnée, la diagonale invisible des regards qui relie les deux personnages, et la mouette qui tend vers l’infini ou la poésie. Grand bravo.
Merci pour vos commentaires et je me permets de mettre en lien une version moins karchérisé du géant, j’ai l’impression que le grain argentique n’aime pas mais alors pas du tout la compression numérique.
http://tombouctoumanu.org/?p=726
Le regard ne cesse d’aller d’un sujet à l’autre et la noirceur générale du tirage ne lui laisse pas d’échappatoire. Superbe !
superbe…;-)
Très impressionnant! Belle image, beau tirage violent.
Quel beau cadrage, l’effet est impressionnant.
Pour moi, c’est vraiment la meilleure que tu as présenté où tu sais, et qui vaut largement l’actuelle n°2 !
😉
Bien vu.
Bravo!