alain-michel boley sur 14 février 2012 à 20h16 Ce n’est pas un montage, mais le monde vu par les yeux d’une mouche savante ! 😉
GBertrand sur 15 février 2012 à 2h10 On pourrait croire à un montage (hervé) ou à la multitude d’images que des yeux à mille facettes comme ceux de la mouche génèreraient (alain-michel). Eh bien non, pour une fois … enfin presque. Cette photo a été prise samedi au Grand Palais où l’on expose en ce moment de grands plans-reliefs. Les armatures des verrières de la nef et les miroirs accrochés pour faciliter la vision, associés, créent de très intéressantes structures kaléidoscopiques. Bien sûr, je n’ai pu m’empêcher de déplacer un petit groupe de spectateurs pour les poser, sans qu’ils le sachent, en figurants lilliputiens, sur l’un des plans. C’est donc quand même aussi un élément de “recomposition”. Mais comment s’en empêcher ?
louis sur 16 février 2012 à 17h58 Belle image : un CREMONINI sans angoisse,un miroir brisé qui porterait bonheur !
Irène de Groot sur 16 février 2012 à 20h08 Se souvenir de Crémonini, j’en suis émue! J’ai beaucoup aimé l’oeuvre de ce peintre à une époque! Sans la jeune femme qui rit, l’image deviendrait angoissante…
GBertrand sur 17 février 2012 à 2h00 Merci Louis d’avoir pensé à Leonardo Cremonini en voyant cette image pourtant en N&B et si sombre. Bien loin des bords lumineux des plages de l’Adriatique ! C’est trop flatteur d’établir ainsi un lien entre ce grand peintre (disparu trop discrètement en 2010) et ce cliché. A Irène qui semble beaucoup aimer son univers, je propose d’aller voir le modeste hommage que j’ai voulu lui rendre un jour,ici.
Quel beau montage, j’y perds mes repères 🙂
Ce n’est pas un montage, mais le monde vu par les yeux d’une mouche savante !
😉
On pourrait croire à un montage (hervé) ou à la multitude d’images que des yeux à mille facettes comme ceux de la mouche génèreraient (alain-michel).
Eh bien non, pour une fois … enfin presque.
Cette photo a été prise samedi au Grand Palais où l’on expose en ce moment de grands plans-reliefs. Les armatures des verrières de la nef et les miroirs accrochés pour faciliter la vision, associés, créent de très intéressantes structures kaléidoscopiques.
Bien sûr, je n’ai pu m’empêcher de déplacer un petit groupe de spectateurs pour les poser, sans qu’ils le sachent, en figurants lilliputiens, sur l’un des plans. C’est donc quand même aussi un élément de “recomposition”.
Mais comment s’en empêcher ?
Belle image : un CREMONINI sans angoisse,un miroir brisé qui porterait bonheur !
Se souvenir de Crémonini, j’en suis émue! J’ai beaucoup aimé l’oeuvre de ce peintre à une époque!
Sans la jeune femme qui rit, l’image deviendrait angoissante…
Merci Louis d’avoir pensé à Leonardo Cremonini en voyant cette image pourtant en N&B et si sombre. Bien loin des bords lumineux des plages de l’Adriatique !
C’est trop flatteur d’établir ainsi un lien entre ce grand peintre (disparu trop discrètement en 2010) et ce cliché.
A Irène qui semble beaucoup aimer son univers, je propose d’aller voir le modeste hommage que j’ai voulu lui rendre un jour,ici.