Louise Markise
se déguise,
et de fils en aiguilles,
tisse une toile mêlée
d’autoportraits
et de poésie volée.
Elle funambule entre
le mot et l’image,
entre la fantaisie et la nudité,
les couleurs et les silences.
Jeune adulte
ou grande enfant,
elle vit
depuis cinq ans à Berlin.
Ce pourrait être l’illustration d’un conte pour enfants et c’est très joli, F
Josée
sur 18 novembre 2011 à 4h31
La composition révèle une mise en espace épurée où, d’un point de vue formel, tous les éléments du décor participent à une superbe abstraction géométrique. Puis, de la lumière émane le rêve et la poésie quand le motif du flare, en adéquation avec celui de la robe, multiplie sa lumière sur le mur avant d’achever sa trajectoire sur la table. Une excellente maîtrise technique au profit d’une véritable recherche photographique.
Magnifique Louise!
bernard Lvq
sur 18 novembre 2011 à 11h44
Ce que je ressens toujours dans tes photos c’est l’expression d’une forte et en même temps, subtile expression émotionnelle, exprimée d’une manière très légère (imperceptible), à fleur de peau, qui demande un minimum de temps d’écoute.
Un monde dans lequel l’on se sent toujours en paix.
Surprenant et intéressants tous ces points/halos qui renvoient et transfèrent toute cette scène dans un jeu.
Techniquement, je n’aurais pas gardé les 2 très gros points dans les cheveux.
Brigitte David
sur 18 novembre 2011 à 19h31
… et compter ses sous!
alain-michel boley
sur 19 novembre 2011 à 12h15
Tandis que ce visage empli de sérieux répond aux éléments graves et tangibles du décor (chaux ou plâtre du mur; table de bois portant monnaie; fonte et tablette de radiateur), la lumière prend la femme à bras le corps, si j’ose dire : l’on pressent qu’il va se jouer là une lutte ou une danse… Où déjà la robe commence à se défaire de quelques fils !
Une photographie d’une sensualité immense !
Matoufilou
sur 30 décembre 2011 à 15h10
J’aime l’aller et retour entre l’intérieur et l’extérieur de l’image.
Quelque chose en moi se trouve éclairé par cette photo, comme c’est le cas souvent quand je regarde le travail de Louise Marquise.
J’ai le sentiment d’en être.
C’est l’antithèse de la photo de Capucine (“Echappée belle”, 20 décembre 2011) : le simulacre ici est merveilleusement réussi.
abracadabrantesque
sur 15 novembre 2012 à 13h28
Je trouve que cette photo raconte une histoire à elle toute seule.
Ce pourrait être l’illustration d’un conte pour enfants et c’est très joli, F
La composition révèle une mise en espace épurée où, d’un point de vue formel, tous les éléments du décor participent à une superbe abstraction géométrique. Puis, de la lumière émane le rêve et la poésie quand le motif du flare, en adéquation avec celui de la robe, multiplie sa lumière sur le mur avant d’achever sa trajectoire sur la table. Une excellente maîtrise technique au profit d’une véritable recherche photographique.
Magnifique Louise!
Ce que je ressens toujours dans tes photos c’est l’expression d’une forte et en même temps, subtile expression émotionnelle, exprimée d’une manière très légère (imperceptible), à fleur de peau, qui demande un minimum de temps d’écoute.
Un monde dans lequel l’on se sent toujours en paix.
Surprenant et intéressants tous ces points/halos qui renvoient et transfèrent toute cette scène dans un jeu.
Techniquement, je n’aurais pas gardé les 2 très gros points dans les cheveux.
… et compter ses sous!
Tandis que ce visage empli de sérieux répond aux éléments graves et tangibles du décor (chaux ou plâtre du mur; table de bois portant monnaie; fonte et tablette de radiateur), la lumière prend la femme à bras le corps, si j’ose dire : l’on pressent qu’il va se jouer là une lutte ou une danse… Où déjà la robe commence à se défaire de quelques fils !
Une photographie d’une sensualité immense !
J’aime l’aller et retour entre l’intérieur et l’extérieur de l’image.
Quelque chose en moi se trouve éclairé par cette photo, comme c’est le cas souvent quand je regarde le travail de Louise Marquise.
J’ai le sentiment d’en être.
C’est l’antithèse de la photo de Capucine (“Echappée belle”, 20 décembre 2011) : le simulacre ici est merveilleusement réussi.
Je trouve que cette photo raconte une histoire à elle toute seule.