Les mouettes volent…
Amusées ou agacées par la tempête ?
bolerophoto
Ça vous gratouille ou ça vous chatouille
Les mouettes volent…
Amusées ou agacées par la tempête ?
Je cherche un point d’ancrage dans le flou … 😉
Idem Irène …
@Irène de Groot: Merci de votre commentaire. Pas de point d’ancrage dans une image de tempête, c’est plutôt logique, non ?
😀
@Yvap : Moi aussi je fais bref dans les légendes en ce moment 🙂
Plus généralement, et cela servira peut-être à d’éventuels futurs commentateurs, cette image est une sorte de poème bref dédié aux mouettes volant dans la bourrasque. Je pense à Sarah Moon, qui au sortir d’une séance de pose se reposait à la fenêtre et, avec grande surprise, se retrouvait presque nez à nez avec l’oiseau. L’oiseau de ses rêves ! Bon, j’admets que la Rivièra ligure n’est pas une corniche New-Yorkaise, ni… la tempête de nuit propice aux plans rapprochés !
Quand même… On n’y voit rien…
Là, cela part à la dérive…
C’est vrai. La mouette en plein vol à minuit, c’était pas gagné. Je me suis pris pour Sarah Moon. Ça m’apprendra ! Mais le feeling y est, remarquez…
Juste que le vent soufflait un peu trop fort, que la mouette était trop capricieuse et puis…
😉
Et puis, la tempête a tout balayé sur son passage, même tes autres photos !?
Tout fout’l’camp mon pov’monsieur, y’a plus de repères… c’est le bateau qui godille ou c’est toi ? 😉
Il aurait fallu encore plus fou, histoire que l’on s’y perde beaucoup plus, et nous en avons déjà supporté sur LVEG bien plus avec plaisir, alors que là en effet l’on cherche des repères.
Cela tient plus du cimetière marin !?
@Bernard LVQ = Si c’est un bateau, il est ivre, mais… c’est du rivage qu’il s’agit (comme le nom l’indique, fragile repère). J’entends bien que l’on parle de “repères” à propos de cette image pourtant le sujet est bien ici la tempête, et le propre de la situation est quand même d’être perdus dans l’excès des vents, non ?
😉
@Loïs= Votre remarque est très curieuse. Je mets un peu de temps à répondre car je ne l’ai pas comprise sur le moment. Il y a cette jetée tordue qui s’avance. On peu effectivement y voir comme l’épave d’un grand bâtiment. La rangée des parasols repliés donne peut-être un effet de vieillerie. Je ne sais pas. L’image est tremblée par la pose relativement longue.
Je l’ai retenue (à part mon goût pour ce type d’image) pour le dessin des vagues sur la noirceur et l’oiseau esquissé. Voilà.
“Je l’ai retenue pour le dessin des vagues sur la noirceur et l’oiseau esquissé” … eh ben voilà, il faut centrer notre attention là-dessus et nous en faire une sur ce sujet seul et je crois que je vais adorer 😉
@ amb: plutôt que les membrures d’une épave, je vois des alignements de pierres tombales surmontées de croix qui me font penser aux cimetières en bord de mer. D’où mon exclamation-interrogation.
Je n’ai vraiment pas accroché à cette histoire de mouette.
J’aime bien cette atmosphère de tempête mise en valeur par le flou mais je trouve que le mobilier de plage est sur-exposé.
Merci d’avoir répondu !
Des dents de requin !
@ Brigitte David = L’ossature de la mouette, plutôt… Si j’avais su que tu commenterais aussi loin en arrière, j’aurais commencé encore plus tôt !
😉
Plaisanterie mise à part, celle ci fait justement partie du type d’image dont je parlais récemment à GBertrand autour de ses Trois arches. Du travail de longue exposition sur film à main levée. Malheureusement, à l’horizon 2007, je n’avais ni les moyens ni la connaissance de les présenter sur le web…
Merci de ton intérêt.